20070315

Viva la revolucion!

Résumé d'une manifestation "anti-brutalité policière" à Montréal:

La police de Montréal a arrêté 15 personnes, jeudi soir, lors d'une manifestation contre la brutalité policière qui s'est terminée dans le grabuge, comme c'est le cas chaque année depuis environ 10 ans.

Les policiers sont intervenus après que les manifestants eurent saccagé un commerce de restauration rapide et brisé les fenêtres d'autres magasins, selon le porte-parole de la police, Ian Lafrenière.

Le tout a débuté vers 17h45 dans l'ouest de la ville et a dégénéré après que certains manifestants eurent pris le métro pour se déplacer vers l'Est. Après être sortis du métro, ils s'en sont pris à un restaurant McDonald's et à d'autres commerces. Une douzaine de méfaits ont été commis.

Quatre personnes ont été appréhendées pour incendie criminel, une l'a été pour méfait sur véhicule, une pour agression armée sur un policier — celui-ci n'a pas été blessé —, et neuf pour attroupement illégal. De ce nombre, on compte six mineurs.


Quoi de mieux pour manifester contre la brutalité policière que d'agresser un policier avec une arme...

Pauvres cons.

Bien sûr, ce rassemblement n'avait strictement rien à voir avec la brutalité policière, cette dernière ne servant en fait que de paravent à un énième attroupement de loques altermondialistes venues régurgiter leurs slogans anarcho-socialo-communistes et manifester leur haine des Big Macs...

De nos jours, toute manifestation, et ce sur quelque sujet que ce soit, est systématiquement parasitée par cette vermine qui, sachant être trop bête pour pouvoir un jour espérer faire partie de l'élite, a plutôt choisi de se révolter contre elle dans ces orgies de gauchistes enconnassés, obéissant crétinement à la fatwa déclarée d'obscures groupuscules d'extrême-gauche contre la liberté économique et d'ailleurs, contre la liberté tout court.

C'est de toute façon l'objectif recherché par cette mouvance putréfiée qui peut ensuite, du haut de son statut auto-infligé de martyre du capitalisme oppresseur, se dire doublement victime, à la fois du système et des forces qui selon elle, assurent sa consolidation.

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