André Boisclair estime avoir la légitimité de tenir un référendum même s’il se retrouve à la tête d’un gouvernement minoritaire.
Le chef du Parti québécois refuse depuis le début de la campagne de spéculer sur la possibilité qu’aucun parti ne détienne une majorité absolue au lendemain du scrutin du 26 mars. Mais lorsqu’un journaliste lui a demandé si le Parti québécois pouvait légitimement penser à tenir un référendum dans un contexte où il n’aurait qu’une faible pluralité des voies, il a répondu : «Bien sûr, bien sûr, bien sûr !»
Ce gars-là est une vraie farce.
Oui, il pourra légitimement penser à tenir un référendum.
Tout comme le reste de l'Assemblée nationale pourra légitimement penser à ne pas le permettre.
Case closed.
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