20070319

La FAÉCUM refuse le droit de parole aux étudiants pro-dégel


Résumé de l'histoire: Le Surfeur Autonome

Au cours du mois de février 2007, Vincent Geloso un des militants pro-dégel des frais de scolarité dans le réseau universitaire, organisait une conférence à l’Université de Montréal sur le sujet du dégel des frais de scolarité. En début mars, il se fait aviser que la conférence est arrangée pour le 14 mars au local B-2305 dans le Pavillon Jean-Brillant. En conférence au Centre Hillel sur le sujet des frais de scolarité devant des leaders étudiants Israéliens, Vincent Geloso est informé par un officier de la FAÉCUM qu’il y aurait un débat entre les candidats d’Outremont la même date.

Vincent Geloso a pris contact avec la FAÉCUM proposant d’annuler sa conférence pour éviter les conflits d’horaire en échange de la garantie que la conférence qu’il organisait pourrait tout simplement être déplacée pour le 21 mars. Un officier de la FAÉCUM lui a donné cette assurance et la conférence était fin prête jusqu'à ce que la FAÉCUM demande à M.Geloso de changer la formule de l’activité pour en faire un débat. Le conférencier refuse, considérant que la conférence à lieue la veille d’une manifestation monstre de la FEUQ-FECQ et qu’il avait l’intention de présenter, comme un professeur, son sujet avec pédagogie et en profondeur.

Informé du refus du conférencier et son refus personnel, la FAÉCUM a refusé la tenue du débat prétextant « qu’elle ne pouvait pas autoriser une conférence s’opposant à la prise de position du mouvement étudiant ».

M.Geloso a fait montre de son sens démocratique en offrant de déplacer sa conférence pour mieux accommoder l'expression des idées divergentes sur le campus de l'Université de Montréal et la FAÉCUM a renié sa parole, insultant ainsi les principes démocratiques pour lesquels le mouvement étudiant semble tant tenir.

Voici, faites passer le message et si vous voulez communiquer votre appui à Vincent Geloso (qui commencera mardi à distribuer des macarons pro-dégel sur le campus de l’Université de Montréal) – VincentGeloso@hotmail.com

1 commentaire:

Anonyme a dit...

Pourquoi ne pas avoir accepté la formule du débat ? Le problème aurait été réglé... et à une journée d'avis, je ne peux pas croire que le professeur avait peur d'un adversaire trouvé à la dernière minute... non ?