Le conseil d'administration du Bureau international du travail (BIT) condamne la décision du gouvernement Charest d'imposer la loi 43, qui a fixé les conditions de travail des employés de la fonction publique et parapublique en 2005.
L'organisme des Nations unies considère que la législation québécoise, à laquelle les syndicats réfèrent comme étant le projet de loi 142, viole les conventions internationales 87 et 98, qui portent sur sur la liberté syndicale et le droit d'organisation et de négociation collective des employés.
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Également à l'agenda de l'ONU cette semaine:
- ne rien faire pour contrer le programme nucléaire iranien
- envoyer le Secrétaire Général déposer une gerbe de fleurs sur la tombe du Père du terrorisme palestinien
- faire adopter huit résolutions anti-israéliennes par le "Conseil des droits de l'Homme"
- refuser de condamner l'enlèvement et la détention illégale de 15 marins britanniques par la théocratie irannienne
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