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20070704

Vastel pète les plombs

Michel Vastel, loque journalistique dégénérée, est bon pour l'auspice:

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NAVRANT, DÉSOLANT, DÉCEVANT...
Michel Vastel
02/07/2007


Je crois qu'un certain nombre de correspondants de ce blogue sont des fous. J'ai deux choix. Fermer ce blogue, du moins arrêter de prêter nom nom à L'actualité pour justifier l'ouverture d'une tribune: d'autres ne seront que trop heureux de prendre ma place. Ou encore, nous interdisons de séjour certains personnages du genre Michael Laughrea. Plusieurs le demandent d'ailleurs. Mais si on commence à censurer certains correspondants, nous le ferons sur la base de quels critères? Et comment les applique-t-on? Et à qui?

Quand je dis que cette expérience est décevante, c'est à cela que je pense. Plusieurs d'entre vous - la minorité heureusement! - ne méritez cette tribune. Vous ne méritez pas le magazine L'actualité. Vous ne me méritez pas!


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"Je crois qu'un certain nombre de correspondants de ce blogue sont des fous."

=> Venant de quelqu'un qui blâme encore les juifs pour avoir tuer le Christ*...

"Ou encore, nous interdisons de séjour certains personnages du genre Michael Laughrea."

=> Michael Laughrea, intervenant régulier sur le blogue de Vastel, est professeur à l'Université McGill et chercheur à l'Hôpital Général Juif de Montréal. Chaque fois que Vastel se met à vomir sur Israël, Laughrea le roule dans sa propre merde.

"Vous ne me méritez pas!"

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Vieux déchet gaulliste...

* => Voir ici.

20070403

Michel Vastel: antisémite un jour...

Derrière les prises de position vertueuses de Michel Vastel en faveur des Palestiniens et de leur gouvernement terroriste se cache un antisémitisme moyennâgeux et débilitant, digne de l'Âge des Ténèbres...



B'nai Brith Canada today condemned Le Soleil columnist Michel Vastel for remarks he made during an interview on CKVL yesterday. Twice during the course of his interview with host Pierre Pascau, Vastel blamed Jews for killing Christ.

The interview was a response to B'nai Brith's call for renaming a Montreal metro station which bears the name of the xenophobic cleric Lionel Groulx. The organization suggested that the name of the late Paul Emile Cardinal Leger might be appropriate.




Après avoir été le premier gouvernement occidental à rompre avec le gouvernement palestinien et à couper les vivres aux organisations humanitaires palestiniennes, le gouvernement canadien sera aussi le dernier à reprendre le dialogue.

Le Canada maintient la ligne dure, et impose des privations inacceptables à une population déjà très éprouvée. La seule explication de cette attitude de Stephen Harper est l'infuence du lobby juif et sa conviction que ce lobby a les moyens de punir son gouvernement.


Voici, à l'attention de Vastel, l'essentiel de la doctrine Harper au Moyen-Orient: dans une lutte à finir entre une démocratie libérale occidentale et un régime terroriste génocidaire, on soutient le premier au détriment du second.

Le "lobby juif" qui soit dit en passant appuie toujours en masse les libéraux, n'a strictement rien à voir là-dedans, autre que de nourrir les lubies des vieux antisémites locaux...

20070329

Eurotrash

Dans un texte passablement hallucinant publié ce matin, Jocelyn Coulon, l'antiaméricain de service de La Presse, nous chante un "Ode à l'Europe":

À lire et à entendre certains commentateurs, essentiellement anglo-saxons, l’Europe est à l’agonie, son modèle de développement politique et social un objet de musée, sa population frileuse, xénophobe et inadaptée au monde moderne. Ce genre d’imbécillités fait les choux gras des néoconservateurs américains et de plusieurs membres de l’administration Bush enragés par le succès éclatant de la seule organisation, l’Union européenne, qui a gagné une guerre, celle d’établir la paix sur le vieux continent. Cinquante ans après la signature du traité de Rome, les Européens ont de quoi entonner l’Ode à la joie de Beethoven, aujourd’hui hymne de l’Europe.

Et puisqu’il faut comparer, sur certains aspects de la vie quotidienne, l’Europe est l’avenir du monde, les États-Unis un repoussoir, parfois même un État du tiers monde.


"Enragés par le succès éclatant de la seule organisation qui a gagné une guerre, celle d'établir la paix sur le vieux continent".

Mais sur quelle planète ce pauvre abruti vit-il???

J'aimerais bien le voir en débat se faire massacrer par un des ces "imbéciles de néoonservateurs américains". Ce serait un pur délice...

Pour son information, la paix relative qui prévaut en Europe aujourd'hui a été imposée par les États-Unis en 1945, puis consolidée par l'effondrement de l'Union soviétique en 1990. Les pays européens, hormis la Grande-Bretagne, n'ont jamais libéré un seul pays incluant les leurs et leur rôle dans la chute du communisme en fut un de soutien, au mieux.

L'édification de l'Union européenne, cette monstruosité bureaucratique, n'a été possible que grâce aux États-Unis, qui ont sauvé l'Europe d'elle-même trois fois plutôt qu'une au cours du XXe siècle.

Concernant "l'avenir du monde" que représenterait l'Europe, il est difficile de lire cette phrase sans pouffer de rire...

La réalité, eh bien c'est que l'Europe agonise. L'Europe meurt. Son économie est moribonde, la croissance y est anémique, le chômage de masse endémique, les finances publiques dans un état lamentable, l'étatisme débilitant, les charges fiscales écrasantes, les services gouvernementaux médiocres, le système d'éducation en décrépitude, le taux de natalité en chute libre, les immigrés non-intégrés, la bureaucratie étouffante, le système surhiérarchisé, la jeunesse désabusée, le modèle social périmé et la démocratie bafouée.

Quant au "repoussoir" et à "l'État du tiers monde" que seraient les États-Unis par rapport à l'Europe, voici quelques extraits d'un reportage de Time Magazine publié en janvier 2004 que ce crétin de Coulon ferait bien de lire:

Three years ago, E.U. leaders vowed to make the union "the most competitive and dynamic knowledge-based economy in the world" by 2010. But one of the most worrying signs of their failure is the continued drain of Europe's best and brightest scientific brains, who finish their degrees and pursue careers in the U.S. Some 400,000 European science and technology graduates now live in the U.S. and thousands more leave each year. A survey released in November by the European Commission found that only 13% of European science professionals working abroad currently intend to return home.

The flight of European scientists to the U.S. is nothing new, of course. Political and religious persecution drove luminaries like Albert Einstein and Enrico Fermi across the Atlantic. The exodus continued in the 1950s and 1960s, as the U.S. poured billions into defense-related research and created magnetic clusters of scientific excellence, staffing them with the world's best minds and prompting Britain's Royal Society to coin the term brain drain. America's investments laid the foundation for the tech booms of the 1980s and 1990s, which drew yet more entrepreneurial Europeans westward. Europe's bureaucracies, rigid hierarchies and frustrating scientific fragmentation also pushed people away as they still do to this day. "Europe is a mess," thunders Christopher Evans, a biotechnology professor at four British universities and chairman of the venture-capital firm Merlin Biosciences, "a haze of overregulated and overcomplicated bureaucracies smothering the rare flames of true entrepreneurial brilliance."

[...] complaints like those of Claude Allègre, the former French Education Minister who heads the Paris VII geochemical lab, are all too common. He decries France's anachronistic "Soviet" system, in which control is centralized and researchers must run a bureaucratic obstacle course, whether to buy expensive equipment or order basic office supplies. "I'm planning on moving to the U.S. indefinitely because I want to continue my research," says Allègre. "I can't do so in the current conditions."

Brain drain isn't a purely academic problem. Billions of euros and tens of thousands of jobs are at stake, because science drives economic growth in the IT, biotech and pharmaceutical sectors. Europe can't afford to fall further behind.

In the spring of 2002, after three productive years of research at the pharmaceutical giant Eli Lilly in the U.S. state of Indiana, Matthias Tschöp went home. Leaving the country he calls "a paradise" for scientists was hard, says Tschöp, who studies hunger-related hormones. "I thought about staying, but I'm German. That's where I belong and where I should contribute."

He landed at the German Institute of Human Nutrition (DIfE) in Potsdam, and the shock set in. As at many German institutions, his colleagues were top-notch, but there was little money, and bureaucracy had a stranglehold on what resources were available. Though he quickly helped to win an €11.7 million E.U. grant for obesity research in collaboration with more than two dozen other institutions, it wasn't enough to overcome his disillusionment. "You had to file a four-page application to get a used computer, only to be rejected because of a mistake in paragraph 342," he says. "I could not deal with all that." He kept a visiting professorship at the DIfE and a role in the obesity project, but headed back to America, where he's now an associate professor in the University of Cincinnati's psychiatry department. He still laughs when he thinks of the $750,000 he got for his new lab, staff and travel at Cincinnati. In Germany, he says, "I couldn't even get a start-up grant."

No amount of funding can buy a culture of competitiveness. And if researchers don't see opportunities for reward, they'll take their talent to the States, where innovation and hard work are rewarded with generous grants, full credit and a financial stake in your work. "The U.S. has an entrepreneurial culture," says Finnish molecular biologist Erkki Ruoslahti, who moved to the U.S. in the 1970s and helped build San Diego's Burnham Institute into a top medical-research facility. "People tend to be more enterprising — because they have to be. Otherwise, they're out of business."

Scientists say the competitive spirit found in Ruoslahti's largely European-staffed lab and across America is absent from much of the Continent. In the U.S., "young people who prove they're good get many more opportunities, including perhaps the freedom to run their own labs," says physicist Guido Langouche, vice rector of the Catholic University of Leuven (K.U.L.), who did his postdoc work at Stanford and returned to Belgium for family reasons. "In Europe, you usually have to work for an older professor for 10 years before you get that chance."

Even those lucky enough to get their own labs feel restricted. "In Germany, the principle of reward for performance doesn't exist," says physicist Michael Alexander Rübhausen, 32, who leads a biophysics research group at Hamburg University. He cites a law requiring a doctoral-degree recipient to leave the institution at which the qualification was earned. The idea behind the law is to prevent favoritism in the hiring of new professors, but the practical result is to close off a logical growth path to young scientists at a career crossroads. Rübhausen is lucky — he got a grant guaranteeing his salary and funding for his group through the spring of 2004. But after that? "I don't know whether I'll be able to stay in Germany," he muses, because he won't be allowed to continue at Hamburg, and positions in his speciality are rare. So he's looking back to the U.S., where he did postdoc work.

20070327

Charron strikes again!

Une autre preuve qu'au Québec, le simple fait d'être séparatiste vous permet de dire ou de faire absolument n'importe quoi; nier un génocide, trainer dans des manifestations pro-terroristes, blâmer vos échecs sur les immigrés, sniffer de la coke tout en siégeant au Conseil des ministes... Imaginez deux secondes si un fédéraliste anglophone avait tenu des propos du genre:

« Quoiqu'on dise et quoiqu'on fasse, Jean Charest est clairement et plus que jamais imposé comme Premier ministre par les comtés à majorité ou à forte proportion anglophone au reste du Québec. Avec à peine 33% du vote, Jean Charest n'a de fait l'appui que d'un francophone sur quatre ou sur cinq. Que sur ce territoire, considéré comme l'unique foyer de la nation québécoise, 80% des francophones se retrouvent aujourd'hui dans l'opposition face à un pouvoir ainsi concentré géographiquement est hallucinant, indécent et dangereux. »

- Claude Charron sur les ondes de TVA hier




*Les commentaires en bas d'écran ne sont pas de moi.

20070323

L'hypocrite [prise 2]

Boisclair pète les plombs et menace un journaliste:

« J'vous met au défi 30 secondes de m'donner un moment où j'ai manqué à mon devoir de représentant fidèle de l'Assemblée nationale du Québec. »

Euhhh...





20070320

En voilà une autre

Voici encore Claude Charron, nous expliquant cette fois à quel point il est humiliant pour le Québec de toutjours avoir à se mettre à genoux pour que le gouvernement fédéral vole pour nous l'argent des autres:




*Les commentaires en bas d'écran ne sont pas de moi.

Voir également ici et ici.

Charron en remet encore

Cette fois-ci, notre kleptomane pékwisse dénonce la réaction de Charest et Dumont au dépôt du budget fédéral d'hier. Selon lui, ces derniers n'avaient pas à se montrer le moindrement reconnaissants envers le gouvernement fédéral, après que ce dernier eut accepter de verser au Québec des milliards qui ne lui reviennent tout simplement pas et qui lui appartiennent encore moins. Apparemment, il n'y aurait que Dédé qui comprenne, mais encore là, le raisonnement du chef péquiste serait trop évolué pour la majorité de la population, qui ne comprendrait pas... Vraiment un classique:



Pour de plus amples analyses électorales toutes plus impartiales les unes que les autres de ce Grand Esprit Éclairé qu'est Claude Charron, cliquez ici.

20070319

Charest à Tout le monde en parle

Même une montre brisée donne la bonne heure deux fois par jour. Toute une performance de Johnny Boy à TLMEP. By far, le meilleur des trois.



20070317

Islamisation du Québec et manipulation médiatique



Tiens donc... Remarquez la collaboration à ce reportage de Fo Niemi, le directeur du Centre de recherche-action sur les relations raciales (CRARR), celui-là même qui a accusé André Boisclair de racisme et de mépris il y a quelques jours après sa remarque inoffensive sur les "yeux bridés".

Il faut à tout prix en finir avec ces conneries.

Certains voient Dieu partout, d'autres voient du racisme partout. Les deux souffrent du même désordre neurologique et la dernière chose à faire est de leur fournir une tribune médiatique pour qu'ils puissent ensuite diffuser leur lubies à grande échelle. Ce sont des professionels de la manipulation, de la culpabilisation et du mensonge. Le simple fait que les médias entrent naïvement dans leur jeu et leur accordent cette légitimité et cette crédibilité illusoires est une aberration. Le méprisable discours religieux du multiculturalisme et de la tolérance tous azimuts est malsain et dangereux. La population ne doit en aucun cas y succomber.

Cette femme est tout sauf une victime. Elle a choisi son sort. La logique tordue voulant qu'on l'ait fait pour elle est une supercherie. Personne ne lui a imposé quoi que ce soit. Ses malheurs ne sont dus uniquement qu'à ses propres choix qui l'ont poussé à s'imposer quelque chose à elle-même et non le contraire.

Les analyses objectives de Claude Charron

Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer pourquoi ce gars-là n'est pas considéré comme une dépense électorale du PQ? Je me demande comment on réagirait si Daniel Johnson coanimait le Téléjournal avec Bernard Derome en période électorale...















20070316

La Presse en mode panique

La Presse, organe médiatique du Parti libéral, tente par tous les moyens de convaincre ses lecteurs de ne pas voter pour l'ADQ...


Dans cet exercice pour le moins étrange et plutôt pathétique, André Pratte se questionne à voix haute dans le but de se convaincre lui-même que les libéraux vont gagner les élections:


[...] le parti de Mario Dumont pourrait très bien remporter une pluralité de sièges… et former le prochain gouvernement! (sentez-vous l'effroi?) D’autant plus que 33% des personnes interrogées estiment que M. Dumont ferait le meilleur premier ministre du Québec (contre 27% pour Jean Charest et 22% pour André Boisclair). Avant de trop s’énerver, il faut émettre quelques petites réserves au sujet du sondage. Il a été réalisé en plein brouhaha du débat des chefs (du 13 au 15 mars), ce qui a certainement eu un impact, bien qu’il soit difficile de savoir dans quel sens. De plus, Léger répartit les 10% d’électeurs indécis également entre les trois principaux partis alors que, historiquement, le Parti libéral a toujours obtenu une part plus importante de ces votes. Historiquement…

Enfin, la grande majorité des répondants s’attendent à ce que les libéraux forment le prochain gouvernement et à ce que ce gouvernement soit minoritaire. Comment réagiront-ils lorsque ce sondage leur fera réaliser que l’ADQ – avec un chef qu’ils aiment mais avec zéro expérience gouvernementale et quasi zéro équipe – pourrait être portée au pouvoir? Les Québécois, d’habitude si prudents, persisteront-ils dans leur volonté de brasser la cage? Ou bien certains d’entre eux retourneront-ils vers un des deux grands partis?

Ce serait faire preuve de sagesse.


Weird... On dirait qu'il a publié un extrait de son journal intime.

Peu importe.

Concernant l'équipe de Dumont, j'ai moi-même fait l'exercice d'aller jeter un coup d'oeil sur la biographie de certains de ses candidats et, on doit le dire, ça fait dure...

Mis à part lui-même, Gilles Taillon et André Riedl, on trouve une panoplie de facteurs, de propriétaires de dépanneurs et de vendeurs de cravates mais pas de quoi paqueter un cabinet, disons.

Vous m'excuserez de ne pas considérer l'ex-mairesse de Sainte-Marthe-sur-le-lac comme ministrable...

Même en abolissant les ministères inutiles (une bonne quinzaine) et en en fusionnant quelques uns parmi ceux qui resteraient, on aurait tout de même des chances de se retrouver avec un épicier du coin comme ministre de l'agriculture.

Enfin... Pour revenir à la Presse, vous devriez également aller jeter un coup d'oeil sur cet éditorial de Vincent Marissal, digne de la Tribune libre de Vigile, dans lequel il propose une union entre le PQ et Québec Solidaire. Question, probablement, de reconsolider la dynastie bicéphale libéralo-péquiste. Sur ce dernier point, même Dubuc s'y met...

André Arthur commente le débat des chefs

"Jai vu trois types: j'ai vu un gars courageux, un gars endormi pis un gars féminin."

20070315

L'influence de la radio de droite à Québec

Radio-Canada, terroir par excellence de la gale journalistique socialo-progressiste québécoise, se demande qui peut bien brainwasher les gens de Québec et des environs à voter "du mauvais bord":

20070314

The Great Global Warming Swindle

À voir absolument: "L'escroquerie du réchauffement climatique". Documentaire de la chaîne britannique Channel 4 démolissant la théorie voulant que le "réchauffement climatique" soit causé par l'activité humaine: