Perdus dans l’espace
Joseph Facal
Le Journal de Montréal/Le Journal de Québec
21 juin 2007
Je n’avais pas eu de nouvelles de mes amis de Québec solidaire depuis longtemps. En fin de semaine, ils ont fait leur bilan des dernières élections. Ça tombe bien, je commençais à manquer de matériel comique.
Vous vous rappelez cette délicieuse série de science-fiction qui a bercé notre enfance et qui s’appelait Perdus dans l’espace ? Avec l’infâme Zachary Smith et le robot qui, les baguettes en l’air, hurlait «Danger, danger!»? On y racontait les tribulations d’une petite famille égarée sur une planète inhospitalière.
J’y ai repensé en lisant les comptes rendus du conseil général de Québec solidaire.
Le chef à deux têtes avait l’air en forme.
Amir Khadir n’a pas semblé trouver trop accaparant son mandat à la tête de la commission d’enquête spéciale de l’ONU chargée de faire toute la lumière sur le complot néolibéral, impérialiste et sioniste derrière les attentats du 11 septembre 2001. J’attends impatiemment qu’il nous apprenne ce qui s’est réellement passé ce jour-là.
Malgré un score (3,6 %) qui se confond avec la marge d’erreur des sondages, la direction bicéphale s’est dite satisfaite des résultats électoraux. C’est parce que les Québécois, dit-elle, ne connaissent pas encore les idées de Québec solidaire. Traduction: quand ils les connaîtront, ils les achèteront.
C’est souvent comme ça quand la majorité ne pense pas comme vous. C’est parce qu’elle ne sait pas ou qu’elle ne comprend pas.
Mais il ne faut pas désespérer: un jour, elle verra la lumière. Quand le grand complot médiatico-financier ourdi par des forces occultes aura été démasqué, et que le bon peuple ne sera plus intoxiqué par des idées perverses comme l’effort et le mérite.
Soyons bon prince: il y eut un signe encourageant en fin de semaine. Dans un moment de lucidité qui n’a pas dû plaire à tous, un militant a osé qualifier de «bouillie pour les chats» la position de Québec solidaire sur la souveraineté.
Québec solidaire, voyez-vous, se dit souverainiste comme la plupart des gens se disent environnementalistes. Mais comme le parti n’est pas trop sûr de son affaire, il mettrait sur pied une assemblée populaire de citoyens qui pourrait éventuellement le convaincre de croire à autre chose. Je sens que ça vous inspire.
C’est si simple
Pour le reste, rien de bien nouveau: sur ces dangers mortels que seraient le privé en santé et le dégel des frais de scolarité, Québec solidaire est aussi prévisible que Benoît XVI sur l’homosexualité et la contraception.
Je revois d’ici le robot en tôle cheap de mon enfance, avec sa lumière rouge qui clignotait sur la tête, qui gueulait, affolé: «Danger, danger!»
Évidemment, toujours rien sur le développement économique, concept dénué de sens sur leur planète. Mais je suis sans doute endoctriné par l’idéologie néolibérale.
Si vous avez le mauvais goût de vous demander ce que Québec solidaire propose à la place pour financer nos hôpitaux et nos écoles, c’est que vous n’avez pas encore ouvert votre coeur et votre esprit à la divine parole : Québec solidaire taxera davantage tout ce qui bouge encore au Québec.
C’est ce qui est merveilleux quand vous n’aspirez pas à gouverner: vous êtes libre de dire absolument n’importe quoi. Seule compte la pureté de vos intentions.
Je cherche encore à comprendre comment le Parti québécois a pu sérieusement penser que le danger pour lui pourrait venir de là plus que de l’ADQ. Remarquez que le vrai danger pour le PQ vient habituellement du PQ.
Au Québec, depuis un demi-siècle, on ne compte plus les tentatives ratées pour faire décoller une formation d’extrême gauche. Décidément, les masses opprimées mettent du temps à se libérer de leurs chaînes.
20070623
Québec Solidaire vu par...
20070616
Bilan provisoire de l'ADQ
- S'opposer aux baisses d'impôts pour les classes moyennes.
- Prôner le protectionnisme culturel.
- Blâmer le gouvernement pour un sous-financement des "groupes communautaires".
- Refuser connement d'admettre que les taxes à la consommation sont préférables à un impôt élevé sur le revenu.
- Appuyer le contrôle gouvernemental des prix de l'essence.
- Entériner un énième projet de loi inutile sur le contrôle des armes à feu.
- Qualifier d'"irresponsable" et d'"électoraliste" un budget calqué sur son propre programme électoral.
SPECTRUM POLITIQUE QUÉBÉCOIS 2007

GOGAUCHE BOLCHO-LIBÉRALO-FÉDÉRALO-COMPLEXÉE

GOGAUCHE DÉMAGO-POPULISTE

GOGAUCHE NATIONALO-SOCIALO-SYNDICALO-PROGRESSISTE

GOGAUCHE ÉCOLO-MARXISTE

GOGAUCHE ISLAMO-TROTSKO-TOTALITAIRE
20070615
Les belles valeurs de Québec Solidaire
Le plan de nos démocrates-pacifistes-féministes-laïques pour l'Afghanistan: le retrait immédiat des troupes de l'OTAN et le retour tout aussi immédiat des talibans et de leur régime totalitaire, sanguinaire, répressif et théocratique. Une belle solidarité solidaire. Pauvres petites loques débiles...

20070612
"Une erreur s'est glissée..."
-----Message d'origine-----
De : gogauchewatch@gmail.com [mailto:gogauchewatch@gmail.com]
Envoyé : 11 juin 2007 16:42
À : info@quebecsolidaire.net
Objet : [Information générale] "Occupation" israélienne
GGW a envoyé un message via le formulaire de contact :
http://quebecsolidaire.net/contact.
Êtes-vous au courant qu'Israël n'occupe plus Gaza depuis 2005?
De: Info Québec solidaire
Date: 11 juin 2007 18:47
Objet: RE: [Information générale] "Occupation" israélienne
À: gogauchewatch@gmail.com
Oui, nous sommes au courant. Une erreur s'est glissée...
Merci
Françoise David
Un détail...
C'est drôle, les "erreurs glissées" sur ce site semblent toujours favoriser le même côté...
On dirait presque qu'ils mentent sciemment...
20070611
L'Apartheid Imaginaire

Cette dernière accusation, selon laquelle Israël serait un État d'apartheid analogue à l'Afrique du Sud, fut popularisée il y a quelques mois par Jimmy Carter, ex-président américain et islamophile antisémite notoire, lors de la sortie de son misérable tome intitulé "Palestine: Peace Not Apartheid".
Je me permet ici de reproduire dans son intégralité la traduction d'un excellent éditorial d'Alan Dershowitz, militant démocrate et professeur de droit criminel à l'Université Harvard, démolissant point par point ces conneries d'apartheid incluses dans la thèse de Carter, qui fut pourtant reprise avec enthousiasme par tout ce que l'Occident peut bien compter en termes de groupuscules islamomarxistes et autres infects ramassis de radicaux antisionistes:
Le monde selon Carter
Alan Dershowitz
03/12/2006
New York Sun, 27 novembre 2006
J’aime Jimmy Carter. Je le connais depuis qu’il a présenté sa candidature au poste de Président, au début de 1976. J’ai travaillé dur pour le faire élire et j’admire l’action du Centre Carter dans le monde. C’est pourquoi je suis tellement perturbé de ce que cet honnête homme ait écrit un livre aussi malhonnête sur le conflit israélo-palestinien.
Son parti pris anti-Israël se révèle dans le choix du titre du livre : " Palestine : la Paix et non l’Apartheid ". La suggestion selon laquelle, sans la paix, Israël est un Etat d’apartheid analogue à ce que fut l’Afrique du sud est clairement erronée. Le mal essentiel de l’apartheid de l’Afrique du Sud, contre lequel moi-même et de nombreux autres Juifs avons lutté, résidait dans le contrôle total qu’exerçait une petite minorité de blancs sur une majorité de noirs. C’était le contraire de la démocratie. En Israël, c’est une majorité qui décide ; c’est une démocratie séculière vigoureuse, qui vient juste de reconnaître les mariages homosexuels contractés à l’étranger. Des arabes sont députés à la Knesset, juges à la Cour suprême et ont le droit de voter pour désigner leurs représentants, dont beaucoup s’opposent fortement aux politiques israéliennes. Israël a proposé, à plusieurs reprises, de mettre fin à son occupation des zones qu’elle a conquises dans sa guerre de défense, en échange de la paix et d’une pleine reconnaissance. En réalité, ce sont les autres nations, arabes et musulmanes, qui pratiquent, de fait, l’apartheid. En Jordanie, aucun Juif ne peut être citoyen ni accéder à la propriété foncière. Il en va de même en Arabie Saoudite, où il y a des routes différentes pour les musulmans et les non-musulmans. Même dans l’Autorité palestinienne, l’influence croissante du Hamas fait peser la menace d’une hégémonie islamique sur les non-musulmans. Des Arabes chrétiens partent en foule.
Pourquoi donc Jimmy Carter invoque-t-il le concept d’apartheid dans son attaque contre Israël ? Il reconnaît pourtant lui-même – quoiqu’il ait enfoui cela vers la fin de son livre – que ce qui se passe en Israël, de nos jours, "contrairement à ce qui était le cas en Afrique du Sud, n’est pas du racisme, mais un processus d’acquisition de territoire". Mais la raison pour laquelle Israël s’accroche à cette terre est la prévention du terrorisme. Il a proposé, à maintes reprises, d’échanger la terre contre la paix, et il l’a fait à Gaza et au sud-Liban, avec pour seul résultat que ces territoires sont utilisés à des fins terroristes d’enlèvements et de tirs de roquettes.
J’ignore pourquoi Jimmy Carter, qui est généralement prudent, a laissé tant d’erreurs et d’omissions entacher son livre. Voici quelques-unes des plus flagrantes.
· Carter insiste sur le fait que "des chrétiens et des Arabes musulmans ont vécu sur la même terre depuis l’époque romaine", mais il néglige le fait que des Juifs ont vécu à Hébron, Safed, Jérusalem et dans d’autres villes depuis plus longtemps encore. Il n’évoque pas davantage l’expulsion de centaines de milliers de Juifs des pays arabes depuis 1948.
· Carter affirme, à plusieurs reprises, que les Palestiniens ont longtemps soutenu une solution à deux Etats et que les Israéliens s’y sont toujours opposés. Mais il ne mentionne pas le fait qu’en 1938, la Commission Peel a proposé une solution à deux Etats, où Israël ne recevait qu’une infime partie de son ancienne patrie, tandis que les Palestiniens recevaient la plus grande superficie de territoire. Les Juifs acceptèrent cette proposition, que les Palestiniens rejetèrent, parce que les dirigeants arabes avaient davantage à coeur qu’il n’y ait pas d’Etat juif en terre musulmane, que d’avoir leur propre Etat palestinien.
· C’est à peine s’il mentionne l’acceptation d’Israël et le rejet palestinien de la partition de la Palestine mandataire, en 1948.
· Il affirme qu’en 1967, Israël déclencha une guerre préventive contre la Jordanie. En fait, c’est la Jordanie qui, la première, attaqua Israël, alors que l’Etat hébreu essayait désespérément de la persuader de rester en dehors de la guerre. Israël ne contre-attaqua qu’après que l’armée jordanienne ait encerclé Jérusalem et tiré des missiles sur le centre de la ville. C’est alors seulement qu’il s’empara de la Cisjordanie, avec l’intention de la restituer en échange de la paix et de la reconnaissance d’Israël par la Jordanie.
· Carter mentionne, à plusieurs reprises, la Résolution 242 du Conseil de Sécurité, qui appelait à la restitution des territoires conquis en échange de la paix, de la reconnaissance mutuelle et de frontières sûres ; mais il passe sous silence le fait qu’Israël accepta cette Résolution, alors que les nations arabes et les Palestiniens la rejetèrent. Les Arabes se rencontrèrent à Khartoum et émirent leurs trois fameux "Non" : "Pas de paix, pas de reconnaissance, pas de négociation". Mais nul ne le saurait en lisant l’histoire selon Carter.
· Carter reproche à Israël "sa frappe aérienne qui détruisit un réacteur nucléaire iraqien", sans mentionner que l’Iraq avait menacé Israël d’attaque à l’arme nucléaire, s’il réussissait à réaliser une bombe.
· Carter fait des reproches à Israël à propos de son administration des sites religieux chrétiens et musulmans, alors qu’en fait, Israël garantit scrupuleusement à chaque religion le droit d’exercer son culte comme il l’entend, en tenant compte, bien sûr, de ses besoins sécuritaires. Il s’abstient de mentionner qu’entre 1948 et 1967, quand la Jordanie occupait la Cisjordanie et Jérusalem-est, les Hachémites détruisaient et profanaient des lieux saints juifs et empêchaient les Juifs de prier au Mur occidental. Il ne fait jamais mention de la brutale occupation de Gaza entre 1949 et 1967.
· Carter impute à Israël - alors qu’il en exonère Arafat - le refus palestinien d’accepter de créer un Etat sur 95% de la Cisjordanie et sur la totalité de Gaza, à la suite des propositions Clinton-Barak, à Camp David et Taba, en 2000-2001. Il accepte l’histoire révisionniste palestinienne, fait fi des comptes-rendus des témoins oculaires que sont le Président Clinton et Dennis Ross, et passe sous silence l’accusation du Prince saoudien, Bandar, selon laquelle le rejet par Arafat de la proposition était un "crime", et le compte-rendu d’Arafat "n’était pas véridique", sauf, apparemment, pour Carter.
· La manière dont Carter décrit la récente guerre au Liban est trompeuse. Il commence par affirmer que le Hezbollah a capturé deux soldats israéliens. La mot "capturé" suggère une arrestation militaire soumise au statut habituel de prisonnier de guerre. Or, les soldats ont été enlevés, et on est sans nouvelles d’eux depuis, sans le moindre signe de vie. Les attaques de roquettes qui ont précédé l’invasion d’Israël sont largement passées sous silence, de même que le fait que le Hezbollah tirait ses roquettes à partir de concentrations de populations civiles.
· Carter ne porte virtuellement pas au crédit d’Israël son superbe système judiciaire, il affirme au contraire, sans aucune référence à des textes, que "des aveux arrachés par la torture sont admis par les tribunaux israéliens", que des prisonniers sont "exécutés" et que les "accusateurs" agissent "comme des juges". Même les plus sévères critiques d’Israël reconnaissent l’équité de la Cour Suprême israélienne, mais pas Carter.
· Carter impute même à Israël la responsabilité de l’"exode des chrétiens de la Terre Sainte", faisant totalement l’impasse sur l’islamisation de la région par le Hamas et l’exode comparable des Arabes du Liban, qui résulte de l’influence croissante du Hezbollah et des assassinats à répétition de dirigeants chrétiens par la Syrie.
· Carter accuse aussi toutes les administrations américaines, excepté la sienne, d’être responsables de l’impasse au Moyen-Orient, et il insiste particulièrement sur la "soumission de la Maison Blanche et du Congrès, ces dernières années". Il recourt à l’hyperbole et à l’emphase quand il affirme que "le dialogue sur des questions controversées est un privilège accordé seulement à titre de récompense pour un comportement servile, et ôté à ceux qui rejettent les exigences américaines". Il met sur le même pied des Etats terroristes, tels l’Iran et la Syrie avec lesquels nous ne consentons pas à dialoguer, et des Etats, comme la France et la Chine, avec lesquels nous avons de profondes divergences, mais maintenons un dialogue.
J’espère que le Président Carter envisagera sérieusement de réparer ces omissions et ces erreurs. Il entame bientôt une tournée de promotion de son livre et aura donc l’occasion de corriger ce qui doit l’être.
Alan Dershowitz
© The New York Sun
20070607
20070405
20070330
Québec Solitaire
Olivier Noël, candidat pour Québec solidaire dans Duplessis, et toute l’équipe de Québec solidaire Duplessis vous disent 697 fois merci. « Déjà 697 personnes ont fait confiance à Québec solidaire dans Duplessis et c’est très encourageant pour nous, car nous sommes un jeune parti fondé depuis peu dans Duplessis. Nous avons fait une campagne d’idées et de contenu sur le développement social et économique pour la région et nous allons poursuivre sur cette voie », explique M.Noël.
Wow... Dire qu'il en manquait rien que 3 pour faire 700...
D'autres beaux résultats pour Québec Solidaire:
Dans Laviolette => 486 votes!
Dans Bellechasse => 460 votes!
Dans Soulanges => 442 votes!
Dans René-Lévesque => 436 votes!
Dans Frontenac => 391 votes!
Dans Beauce-Nord => 361 votes!
Dans Matane => 358 votes!
Dans D'Arcy-McGee => 338 votes!
Dans Montmagny-L'Islet => 310 votes!
20070322
20070317
Québecsolidairemanie?
La première phrase a particulièrement attiré mon attention: "De toute évidence, il y a quelque chose dans notre style de campagne qui plait aux électrices et aux électeurs".
En fait, ça plait tellement que dans un sondage publié cette semaine QS était presque à égalité avec la marge d'erreur. (3% pour QS vs 3,1% pour la marge)
À noter que le Parti vert, qui ne bénéficie pas du 1/100e de la couverture médiatique de Québec Solidaire, a en moyenne un score deux fois plus élevé...
20070316
Pour en finir avec Québec Solidaire
Alors que le PQ bat le rappel des troupes souverainistes, la porte-parole de Québec solidaire, Françoise David, courtise le vote de contestation cantonné à l'ADQ. Lors d'un grand rassemblement de plus de 700 personnes, dans un théâtre Latulipe plein à craquer, Mme David a invité ses militants à détourner les contestataires du «mirage de l'ADQ».
«Les moutons noirs, les vrais contestataires, les audacieux qui vont vraiment changer la société québécoise, ils sont à Québec solidaire», a scandé Mme David, dans un discours où elle a ignoré complètement le Parti Québécois.
Mme David a noté que plusieurs Québécois qui «veulent eux aussi mettre fin à l'espèce de domination des élites politiques et économiques» se tournent vers le «mirage» de l'ADQ. Or, ce parti est fondé sur «la xénophobie», «le clivage ville-région», «le repli sur soi», «la division des générations», et celle «entre Québécois nés ici ou ailleurs», a-t-elle martelé.
Amir Khadir a eu l'illustration parfaite de cette confusion cette semaine, quand un policier lui a indiqué qu'il allait voter pour l'ADQ, mais qu'il pourrait éventuellement être tenté par QS. «Il y a une partie de la population qui loge son vote à l'ADQ non par conviction, mais par protestation, parce qu'ils ne nous connaissent pas, et surtout à cause du système électoral», a poursuivi M. Khadir.
"Parce qu'ils ne nous connaissent pas", "surtout à cause du système électoral", gna gna gna...
Remarquez comment le gauchiste éternel se victimise et blâme toujours d'obscurs éléments extérieurs, le plus souvent des complots orchestrés par le "système", pour justifier le fait qu'à peu près tout le monde, généralement aux alentours de 97% de la population, se fout éperdument de lui.
La réalité, c'est qu'en dehors du Plateau Mont-Royal et du quartier gai, Québec Solidaire n'existe tout simplement pas.
Comme si le fait qu'un idiot isolé ne fasse pas la différence entre le centre-droit et l'islamomarxisme représentait en quelque sorte l'électeur moyen.
Le monde ordinaire n'a absolument aucune sympathie ni aucune attirance envers un parti politique qui dit incarner le renouveau en se réclamant sans cesse de vieilles idées moisies ayant été discréditées absolument partout et qui n'ont semé que misère, pauvreté, chômage de masse, rationnement, chaos et atteinte aux libertés là ou elles ont été appliquées.
Un parti qui se dit écologiste pour mieux dissimuler ses idées funestes derrière un simulacre de vertu.
Un parti qui se dit de gauche tout en ostracisant systématiquement tout ceux et celles qui ont tenté et qui tentent toujours tant bien que mal de réconcilier cette mouvance avec la réalité.
Un parti qui se dit démocrate alors qu'il prône en fait des idées découlant du pire totalitarisme que la terre ait jamais porté, qui louange le castrisme et qui marche encore à chaque occasion aux côtés des ennemis de la démocratie israélienne.
Un parti qui se dit féministe mais qui se balance totalement du sort des femmes opprimées du monde musulman, de façon à préserver son alliance incestueuse avec la mouvance islamiste.
Un parti qui se dit altermondialiste, refusant ainsi aux gens des pays les plus miséreux de la terre une chance de s'élever en améliorant leur sort.
Un parti qui se dit "d'un Québec pluriel" mais qui est hostile à quiconque ne partage pas ses idées putréfiées, i.e. la quasi-totalité de la population.
Et finalement, un parti qui se dit "d'un Québec souverain et solidaire", prônant ainsi l'isolement terminal du peuple québécois derrière des frontières barricadées aux échanges extérieurs, de façon non pas à lutter contre, mais bien à entretenir une pauvreté généralisée pour que nous puissions tous ultimement être solidaires de notre médiocrité collective.
Les élections du 26 mars prochain seront l'occasion d'asséner un coup fatal à cette horreur absolue qu'est Québec Solidaire en la faisant disparaître à tout jamais du paysage politique québécois qu'elle cessera enfin de polluer. Il sera temps pour elle de nous quitter pour aller rejoindre ses nombreux prédécesseurs déchus et autres semblables qui croupissent depuis longtemps déjà dans les poubelles de l'Histoire.

Whatever...
Catherine Lebossé profitera de cette activité pour être à l’écoute des préoccupations des personnes présentes à l’égard des engagements de Québec solidaire. En plus de préparer une sauce à spaghetti « solidaire », cette cuisine collective permettra aux membres ainsi qu’aux électrices et aux électeurs d’échanger sur le déroulement de la campagne jusqu’à maintenant et sur la stratégie à mettre en oeuvre d’ici le 26 mars prochain, jour du scrutin.
Les mots me manquent pour décrire à quel point absolument tout ce qui entoure de près ou de loin ce groupuscule de tarés est d'un ridicule et d'une insignifiance qui sont franchement incommensurables.
20070315
Elle est bien bonne...
Le Parti libéral s'est absenté d'un autre débat entre représentants des partis politiques, cette fois sur la réforme de l'éducation.
Et il n'était pas le seul à briller par son absence, cette fois, puisque le candidat qui devait représenter l'Action démocratique du Québec était lui aussi absent.
Avec, comme résultat, le fait que le débat organisé par la Fédération autonome de l'enseignement sur le renouveau pédagogique, jeudi à Montréal, n'a opposé que Camil Bouchard pour le Parti québécois et François Cyr de Québec solidaire.
Source: Cyberpresse
Un débat sur l'éducation entre parasites, sûrement tous deux de grands défenseurs de l'infâme réforme de l'éducation, celle-là même qui cherche non plus à instruire les enfants mais bien à "construire leur conscience citoyenne à l'échelle planétaire" et qui accouchera d'une génération savamment détruite composées de loques ignorantes mais socialement joviales...
Cette réforme est un attentat contre la jeunesse.
Organiser un débat sur le sujet entre le PQ et Québec Solidaire, c'est un peu comme si quelqu'un avait organisé en 1940 un débat sur l'intégration des immigrants juifs entre Lionel Groulx et Adrien Arcand.