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20070703

Rubrique nécrologique

Un grand moment de télévision: Farfour, le Mickey psychopathe du Hamas, est battu à mort par un agent du Mossad:

20070627

Le Culte de la Mort

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L’héritage de la haine et de la violence
Jacques Brassard
26/07/2007

Qui peut bien être responsable de la guerre civile qui ensanglante la bande de Gaza? Quelle curieuse question! Ben voyons! Vous savez fort bien que ce sont les belliqueux États-Unis et l’Immonde Israël, qui portent la responsabilité du triomphe, chez les Palestiniens, de la haine, du fanatisme, de la violence et de l’obscurantisme.

Si je me permets de faire ainsi de l’ironie, c’est parce que bien de prétendus spécialistes de la question et beaucoup d’"idiots utiles" sont fermement convaincus que le peuple palestinien représente l’archétype de l’Opprimé et la figure emblématique de la Victime; par voie de conséquence, les coupables tout désignés de la violence pathologique qui sévit dans les Territoires sont forcément les "Américains sans-coeur et les Juifs enragés".

Pourtant, depuis la naissance d’Israël, en 1948, l’impossibilité d’instaurer la paix au Proche-Orient a pour cause unique et persistante la volonté de tous les peuples arabes de la région, de tous les États voisins et de toutes les organisations islamistes du coin, de détruire Israël, de l’anéantir à tout jamais, de le "rayer de la carte", pour utiliser l’expression du despote illuminé de Téhéran.

Dans toutes les guerres qui ont suivi la création d’Israël - que ce soit celle des Six Jours, en 1967, ou du Yom Kippour, en 1973 - l’objectif poursuivi par les armées arabes coalisées (Égypte, Syrie, Jordanie) a toujours été l’anéantissement d’Israël. Lorsque, dans les années 80, le terrorisme aveugle contre les civils innocents a remplacé les opérations militaires "classiques", le but recherché, lui, n’a pas changé. Il s’agit toujours de détruire Israël.


Hamas

Illustrons ce propos par des citations de la Charte du Hamas: "Le Mouvement de la résistance islamique est un mouvement honorable [!] qui fait allégeance à Allah et à sa voie, l’islam. Il lutte pour hisser la bannière de l’islam sur chaque pouce de la Palestine. Il n’existe pas de solution à la question palestinienne, excepté le jihad. Les initiatives, les propositions et les conférences internationales sont une perte de temps et des tentatives vaines."

C’est très clair: il s’agit d’éliminer Israël. Que nous dit l’ex-Premier ministre du gouvernement du Hamas, Ismael Haniyeh, celui que les "idiots utiles" utiles à l’islamisme) jugeaient apte à mener des négociations? "Les arrogances américaine et sioniste, glapissait-il, exigent de nous que nous approuvions l’usurpation des terres palestiniennes et que nous arrêtions la guerre sainte...Tour cela n’arrivera pas. Nous ne reconnaîtrons jamais le gouvernement sioniste usurpateur et nous continuerons notre guerre sainte jusqu’à la libération de Jérusalem".

Reconnaissons-le: le Hamas a au moins le mérite de la clarté. Il faut vraiment être aveuglé par l’antiaméricanisme et l’antisémitisme pour ne pas voir que l’objectif premier de toutes les légions terroristes du Moyen Orient - Hamas, Jihad islamique, Hezbollah - ce n’est pas de créer un État palestinien coexistant avec l’État Hébreu, mais de pulvériser Israël.

Culture de la haine

Voilà pourquoi l’enfer de Gaza, dans lequel croupissent et se morfondent les Palestiniens, n’est que le fruit pourri de la culture de la haine et de la violence qui imprègne, depuis des décennies, tous les peuples de cette partie du monde. La faut n’en incombe certes pas au Président Bush qui, dès 2002, indiquait que les "États-Unis ne soutiendront pas l’établissement d’un État palestinien, jusqu’à ce que ses dirigeants s’engagent dans un combat tenace contre les terroristes et démantèlent leur infrastructure". Or, cette condition n’a jamais été remplie.

Ce n’est pas non plus Israël qui est responsable du chaos en territoire palestinien. Ce chaos est la conséquence de l’exaltation, par la société palestinienne, de la violence et de l’antisémitisme.

La haine des Juifs est enseignée dans les écoles palestiniennes comme une matière scolaire. Les mères des terroristes tueurs de civils se glorifient d’avoir enfanté des martyrs d’Allah. Devant cette frénésie de violence, il convient de rappeler qu’Israël a le droit d’exister et le devoir de se défendre.

L’État hébreu a pourtant fait de substantielles concessions dans l’espoir de faire naître la paix. Il a procédé à deux retraits majeurs de l’armée: au Liban sud, d’abord, et dans la bande de Gaza, ensuite.

Ces retraits furent considérés comme un aveu de faiblesse et, donc, comme une victoire de la Terreur. Résultat: la violence ne fit que s’amplifier sous la forme d’une pluie de missiles tombant sur les villes israéliennes.

Les choses doivent être claires: Israël a le droit et le devoir de lutter sans faillir pour exister. L’Occident tout entier (ce qui nous inclut) a le devoir d’être solidaire de ce combat. Sans dérobades ni atermoiements...

Jacques Brassard (Parti Québécois) a été ministre des Loisirs, ministre des Transports et ministre de l’Environnement, ministre délégué aux Affaires intergouvernementales canadiennes et ministre des Ressources naturelles. Il a occupé à plusieurs reprises les positionz de leader parlementaire et de whip.

© 2007 Le Quotidien. Tous droits réservés.

20070614

Hamastan

Mark Steyn sur le "nationalisme palestinien":

This is the logical consequence of the fraudulence of "Palestinian nationalism". There has never been any such thing. There is no evidence anywhere in the "Palestinian Authority" that anyone there is interested in building a state and running it. In conventional post-colonial scenarios of the Sixties and Seventies, liberation movements used terrorism as a means to advance nationalism. By contrast, Arafat's gang used nationalism as a means to advance terrorism. With him out of the way, it was deluded to assume that the "Palestinian people" would stick with a bunch of corrupt secular socialists with little appeal to anyone other than French intellectuals and Swiss bankers. The Mahmoud Abbas types play well on CNN and in EU subsidy negotiations, but because "Palestinian nationalism" was always bogus it's no surprise that the population of Gaza would seek a real identity elsewhere. In the Islamism of Hamas, they have found it. And, if it causes problems for all those Arab League deadbeats who promoted the pseudo-struggle of the "Palestinian people" for their own ends, well, they should have thought of that before they loosed this particular genie.

20070613

Crimes de guerre à Gaza

Tiens donc... Human Rights Watch accuse la racaille terroriste palestinienne de crimes de guerre...

J'ai bien hâte d'entendre Khadir, Vastel et compagnie relayer le même message...


Human Rights Watch dénonce "les crimes de guerre" des factions armées palestiniennes
LEMONDE.FR avec AFP
13.06.07


L'organisation de défense des droits de l'homme Human Rights Watch (HRW) a accusé, mardi 12 juin, les groupes armés palestiniens de commettre des "crimes de guerre" contre des civils au cours de violents combats interpalestiniens dans la bande de Gaza. "Le meurtre de civils qui ne sont pas engagés dans les hostilités et l'assassinat délibéré de prisonniers sont des crimes de guerre, purement et simplement", dénonce dans un communiqué Sarah Leah Whitson, directrice du groupe pour le Proche-Orient.

"Des groupes palestiniens armés commettent de graves violations des lois humanitaires internationales", ajoute le HRW. Au cours des trois derniers jours, "le Fatah et le Hamas ont sommairement exécuté des prisonniers, tué des gens non impliqués dans les violences et engagé des affrontements armés (...) à l'intérieur et à proximité des hôpitaux palestiniens", affirme l'ONG.

L'organisation de défense des droits de l'homme cite notamment l'assassinat de Mohammed Swairki, 28 ans, un cuisinier du président du président Mahmoud Abbas. Swairki a été jeté du 15e étage d'un immeuble avec les pieds et les mains liés. Plus tard, des sympathisants du Fatah ont capturé Mohammed al-Rafati, un proche du Hamas, et l'ont exécuté de façon similaire, selon HRW.

20070612

Gaza

Noah Pollak du Shalem Center de Jérusalem analyse la situation à Gaza [The Corner -- National Review]:

What's going on in Gaza is both good and bad. It's good for Israel insofar as it lays bare for the world to see that there is no actual nationalist culture among the Arabs of Palestine. There is a tribal and sectarian culture that, left to its own devices, gives rise to militias that battle for supremacy in Gaza's weak-state environment. There used to be two sources of (loose) control over Gaza: Yasser Arafat and the Israeli occupation. In less than a year they both disappeared. Now there is factional chaos, and this Hobbesian state of affairs benefits Israel in three major ways: in degrading international sympathy for the Palestinians; in galvanizing Israeli public opinion against making concessions to the non-entity that is the Palestinian Authority; and the manner in which the Palestinians are degrading their terrorist capabilities by fighting each other instead of against the IDF and Israeli civilians.

Those are the good things. The bad thing is that groups like Hamas and Islamic Jihad are now firmly in the Iranian orbit — IJ is probably mostly funded by Iran, and the mullahs are Hamas' largest donor. That money isn't provided out of ideological solidarity — it is payment for terrorism and jihad. Iran is feverishly trying to build up a network of alliances and proxies to wage its battles for it and to make the Israeli and American presence in the Middle East as costly as possible. So it funds (and in some cases arms) Hezbollah, Hamas, Islamic Jihad, the insurgency in Iraq, the Taliban remnants in Afghanistan, and helps prop up the Assad regime in Syria. The boldness of Hamas and IJ isn't just a story about Palestinian civil war — it's a story of continued Iranian cooption of terrorist groups and their battles in the Middle East in a larger war against Israel and America.

20070608

On aura tout vu...

Des Palestiniens exaspérés par les luttes fratricides entre les diverses factions terroristes de Gaza en sont rendus à souhaiter le retour de l'"occupation" israélienne:

For most Palestinians, black-hooded gunmen have long been respected symbols of resistance against Israeli occupation.

Now, frequent internal fighting and lawlessness gripping the Palestinian territories have transformed the militants into no more than gangsters in the eyes of many of those who once saw them as heroes.

"It's very ironic but I'm relieved the Israelis have started a bombing campaign. The gunmen killing each other on the streets were forced to go into hiding," said Mai, a Gaza housewife, referring to strikes aimed at halting rocket attacks on Israel.

Gunmen, who once battled Israeli soldiers in the alleyways of towns and refugee camps in the West Bank and Gaza, have turned against each other in an on-going power struggle between Hamas and Fatah -- partners in a unity government.

"Many of these groups are now a burden on society. They were created to fill a security vacuum under the pretext of national resistance, said legislator Nasser Jum'a, once a leading member of Fatah's al-Aqsa Martyrs Brigades.

"They then blackmailed people, attacked them and confiscated their freedoms as the weak official security forces failed to punish them," he said.

Jum'a said ordinary Palestinians were so fed up with the armed groups "they now wish the Israeli occupation would take over in Gaza or hope for the return of Jordanian rule in the West Bank" to get rid of them.