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20070405

Le PQ et le Québec francophone

Le président régional du PQ dans Chaudière-Appalaches annonce la disparition prochaine de son parti et demande qu'on se débarrasse expressément de l'aile bolcho-syndicaliste...



20070329

Quand les fous prennent possession de l'asile

Selon le SPQ-Libre:

On croirait revivre un mauvais scénario. Au lendemain de la défaite de 2003, un groupe de députés comprenant André Boisclair et Joseph Facal prenaient prétexte des gains de l’ADQ pour suggérer au Parti Québécois un « recentrage » vers la droite. Impressionnés par les succès de Mario Dumont, particulièrement dans la région de Québec-Chaudières-Appalaches, les tenants de ce virage proposaient de concurrencer l’ADQ sur son propre terrain, mais en revêtant les habits d’une soi-disant « nouvelle social-démocratie ».

Comme bon nombre de sociaux-démocrates à travers le monde, ils avaient été ébahis par les succès électoraux de Tony Blair et de son « New Labour » en Angleterre. Présenté comme une « modernisation » de la social-démocratie, le « New Labour » s’inspirait de l’expérience de Bill Clinton au sein du Parti Démocrate et s’est caractérisé, comme son modèle, par une distanciation à l’égard du mouvement syndical et l’adoption de politiques néolibérales.

Mais le congrès de 2005 du Parti Québécois rejette cette approche. Une solide majorité attribue plutôt l’échec électoral au fort taux d’abstentions et l’impute à la dérive néolibérale du parti depuis la politique du Déficit zéro et à sa tiédeur sur la question nationale. Les militantes et les militants corrigent alors le tir et ramènent le parti sur ses positions sociales-démocrates traditionnelles, tout en réaffirmant la nécessité de l’indépendance nationale pour la réalisation de ce programme. Ils proposent la tenue d’un référendum le plus tôt possible dans un premier mandat. C’est sur cette base que se scelle l’alliance entre les courants sociaux-démocrates et indépendantistes au sein du parti.


Sans blague... On croirait pratiquement que ce pseudo "club politique" est financé par les adversaires du Parti Québécois...

Ce qui est extraordinaire, c'est que plus le PQ s'alignera sur ce ramassis infect de socialo-syndicalistes préhistoriques, plus il agira à titre de repoussoir pour une majorité grandissante de l'électorat québécois.

Et ça, l'homme libre ne peut que s'en réjouir...

C'est parti...

La base militante du Parti québécois s'agite et commence à critiquer directement le chef André Boisclair. Hier, l'ancien premier ministre Bernard Landry et les deux principaux animateurs du club politique SPQ libre ont chacun de leur côté pointé en direction de M. Boisclair pour expliquer en partie la déconfiture péquiste de lundi. Selon M. Landry, la défaite du PQ doit ainsi être partiellement attribuée à son successeur, qui «n'a pas su faire le lien avec la population». Ce commentaire a été fait au cours d'une entrevue accordée à Radio-France International (RFI), qui doit la diffuser samedi matin.

Joint à sa résidence de Verchères en fin d'après-midi hier, M. Landry a refusé d'évaluer plus précisément le travail de M. Boisclair, pas plus que d'interpréter le vote de lundi. «Je passe plusieurs heures par jour à analyser les chiffres et les composantes, et je ferai des commentaires quand je serai prêt», a-t-il fait savoir. Il semble que l'entrevue avec RFI était planifiée depuis longtemps et ne devait pas porter précisément sur les élections.

Moins nuancé que M. Landry, le club politique Syndicalistes et progressistes pour un Québec libre (SPQ libre) a pour sa part publié hier sur son site Internet une lettre très critique à l'endroit du chef André Boisclair. Intitulée «Le SPQ libre ne jette pas l'éponge», cette missive reproche à M. Boisclair de vouloir abandonner l'idée de souveraineté du Québec et d'être trop à droite.

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