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20070710

Vrak.TV Gaza

Voici ce qui a remplacé Farfour à la télévision palestinienne, depuis son passage à tabac aux mains d'un "agent" du Mossad:

20070627

Le Culte de la Mort

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L’héritage de la haine et de la violence
Jacques Brassard
26/07/2007

Qui peut bien être responsable de la guerre civile qui ensanglante la bande de Gaza? Quelle curieuse question! Ben voyons! Vous savez fort bien que ce sont les belliqueux États-Unis et l’Immonde Israël, qui portent la responsabilité du triomphe, chez les Palestiniens, de la haine, du fanatisme, de la violence et de l’obscurantisme.

Si je me permets de faire ainsi de l’ironie, c’est parce que bien de prétendus spécialistes de la question et beaucoup d’"idiots utiles" sont fermement convaincus que le peuple palestinien représente l’archétype de l’Opprimé et la figure emblématique de la Victime; par voie de conséquence, les coupables tout désignés de la violence pathologique qui sévit dans les Territoires sont forcément les "Américains sans-coeur et les Juifs enragés".

Pourtant, depuis la naissance d’Israël, en 1948, l’impossibilité d’instaurer la paix au Proche-Orient a pour cause unique et persistante la volonté de tous les peuples arabes de la région, de tous les États voisins et de toutes les organisations islamistes du coin, de détruire Israël, de l’anéantir à tout jamais, de le "rayer de la carte", pour utiliser l’expression du despote illuminé de Téhéran.

Dans toutes les guerres qui ont suivi la création d’Israël - que ce soit celle des Six Jours, en 1967, ou du Yom Kippour, en 1973 - l’objectif poursuivi par les armées arabes coalisées (Égypte, Syrie, Jordanie) a toujours été l’anéantissement d’Israël. Lorsque, dans les années 80, le terrorisme aveugle contre les civils innocents a remplacé les opérations militaires "classiques", le but recherché, lui, n’a pas changé. Il s’agit toujours de détruire Israël.


Hamas

Illustrons ce propos par des citations de la Charte du Hamas: "Le Mouvement de la résistance islamique est un mouvement honorable [!] qui fait allégeance à Allah et à sa voie, l’islam. Il lutte pour hisser la bannière de l’islam sur chaque pouce de la Palestine. Il n’existe pas de solution à la question palestinienne, excepté le jihad. Les initiatives, les propositions et les conférences internationales sont une perte de temps et des tentatives vaines."

C’est très clair: il s’agit d’éliminer Israël. Que nous dit l’ex-Premier ministre du gouvernement du Hamas, Ismael Haniyeh, celui que les "idiots utiles" utiles à l’islamisme) jugeaient apte à mener des négociations? "Les arrogances américaine et sioniste, glapissait-il, exigent de nous que nous approuvions l’usurpation des terres palestiniennes et que nous arrêtions la guerre sainte...Tour cela n’arrivera pas. Nous ne reconnaîtrons jamais le gouvernement sioniste usurpateur et nous continuerons notre guerre sainte jusqu’à la libération de Jérusalem".

Reconnaissons-le: le Hamas a au moins le mérite de la clarté. Il faut vraiment être aveuglé par l’antiaméricanisme et l’antisémitisme pour ne pas voir que l’objectif premier de toutes les légions terroristes du Moyen Orient - Hamas, Jihad islamique, Hezbollah - ce n’est pas de créer un État palestinien coexistant avec l’État Hébreu, mais de pulvériser Israël.

Culture de la haine

Voilà pourquoi l’enfer de Gaza, dans lequel croupissent et se morfondent les Palestiniens, n’est que le fruit pourri de la culture de la haine et de la violence qui imprègne, depuis des décennies, tous les peuples de cette partie du monde. La faut n’en incombe certes pas au Président Bush qui, dès 2002, indiquait que les "États-Unis ne soutiendront pas l’établissement d’un État palestinien, jusqu’à ce que ses dirigeants s’engagent dans un combat tenace contre les terroristes et démantèlent leur infrastructure". Or, cette condition n’a jamais été remplie.

Ce n’est pas non plus Israël qui est responsable du chaos en territoire palestinien. Ce chaos est la conséquence de l’exaltation, par la société palestinienne, de la violence et de l’antisémitisme.

La haine des Juifs est enseignée dans les écoles palestiniennes comme une matière scolaire. Les mères des terroristes tueurs de civils se glorifient d’avoir enfanté des martyrs d’Allah. Devant cette frénésie de violence, il convient de rappeler qu’Israël a le droit d’exister et le devoir de se défendre.

L’État hébreu a pourtant fait de substantielles concessions dans l’espoir de faire naître la paix. Il a procédé à deux retraits majeurs de l’armée: au Liban sud, d’abord, et dans la bande de Gaza, ensuite.

Ces retraits furent considérés comme un aveu de faiblesse et, donc, comme une victoire de la Terreur. Résultat: la violence ne fit que s’amplifier sous la forme d’une pluie de missiles tombant sur les villes israéliennes.

Les choses doivent être claires: Israël a le droit et le devoir de lutter sans faillir pour exister. L’Occident tout entier (ce qui nous inclut) a le devoir d’être solidaire de ce combat. Sans dérobades ni atermoiements...

Jacques Brassard (Parti Québécois) a été ministre des Loisirs, ministre des Transports et ministre de l’Environnement, ministre délégué aux Affaires intergouvernementales canadiennes et ministre des Ressources naturelles. Il a occupé à plusieurs reprises les positionz de leader parlementaire et de whip.

© 2007 Le Quotidien. Tous droits réservés.

20070625

Multiculturalisme à sens unique


La récente acquisition, par des investisseurs de la communauté musulmane, d'un complexe immobilier touristique à Saint-Adolphe-d'Howard, dans les Laurentides, inquiète les autorités de la municipalité.

En effet, les responsables de la petite ville craignent que l'achat de l'hôtel Miramont, au coût de 3,5 millions de dollars, n'entraîne la ghettoïsation des lieux. L'hôtel pourrait être transformé en centre de séjour pour la communauté musulmane.

« Honnêtement, nous croyons qu'il y aurait cette inquiétude de voir arriver cette communauté qui pourrait ne pas s'intégrer à la communauté de Saint-Adolphe et faire en sorte qu'on ghettoïserait ce complexe, » dit Michel Binette, directeur général de la municipalité de Saint-Adolphe-d'Howard.

Source: Radio-Canada

Maaaaaaaaaais non! Voici la vraie dépêche:


La récente acquisition, par des investisseurs de la communauté juive hassidique, d'un complexe immobilier touristique à Saint-Adolphe-d'Howard, dans les Laurentides, inquiète les autorités de la municipalité.

En effet, les responsables de la petite ville craignent que l'achat de l'hôtel Miramont, au coût de 3,5 millions de dollars, n'entraîne la ghettoïsation des lieux. L'hôtel pourrait être transformé en centre de séjour pour la communauté juive hassidique.

« Honnêtement, nous croyons qu'il y aurait cette inquiétude de voir arriver cette communauté qui pourrait ne pas s'intégrer à la communauté de Saint-Adolphe et faire en sorte qu'on ghettoïserait ce complexe, » dit Michel Binette, directeur général de la municipalité de Saint-Adolphe-d'Howard.

Source: Radio-Canada

Quelle menace à l'identité québécoise des braves gens de Saint-Adolphe-d'Howard que de voir ces effroyables membres de la juiverie hassidique investir des millions dans leur misérable patelin paumé où la moitié de la population doit vivre des chèques d'aide sociale!

Imaginez si le directeur-général de Saint-Adolphe-d'Howard avait tenu des propos semblables vis-à-vis la communauté musulmane. Il aurait probablement déjà une demi-douzaine de poursuites sur le dos... L'Assemblée nationale aurait sans doute convoqué une session d'urgence pour condamner les propos hérétiques.

Parce que voyez-vous, le mutliculturalisme, cette dérive post-moderne putréfiée, vous permet de faire n'importe quoi n'importe où et sous n'importe quel prétexte à condition de n'être ni blanc, ni chrétien, ni juif.

Entre vous et moi, quand avez-vous vu un juif se plaindre ou quémander quoi que ce soit..?

La réalité, c'est que le Québec n'aime pas les juifs. Le Québec est antisémite.

La rhétorique si chère à nos gauchistes amis-de-tous-les-peuples, si prompts à dénoncer l'amalgame musulman=terroriste, ne s'applique pas aux juifs. Avec les juifs, les généralisations sont permises. En fait, rien ne passe. Avec les juifs, TOUT est No Pasaran!

Qu'une minorité croissante de musulmans occidentaux appuient le terrorisme, who cares? Que 2 ou 3 juifs hassidiques demandent au YMCA de givrer ses vitres, No Pasaran!

Que des terroristes palestiniens tuent impunément au Liban, who cares? Que Tsahal bombarde les repaires islamistes et l'arsenal de mort du Hezbollah, No Pasaran!

Que des islamistes radicaux donnent des conférences dans nos universités, who cares? Qu'un ancien premier ministre israélien fasse la même chose, No Pasaran!

Que le gouvernement subventionne les écoles privées grecques, who cares? Qu'on accorde le même traîtement aux écoles privées juives, No Pasaran!

Que le gouvernement laisse Greenpeace lui dicter ses projets de loi, who cares? Que le chef de l'opposition partage un repas apolitique avec des membres de la communauté juive, No Pasaran!

Que Saïd Jaziri, l'islamiste-chouchou des médias montréalais demande un terrain gratuit et 25 millions en fonds publics pour l'érection d'une mosquée en plein centre-ville en PPP avec des suppôts du wahhabisme saoudien, who cares? Que des juifs désirent INVESTIR 3,5 millions de LEUR ARGENT pour s'offrir un domaine privé, No Pasaran!

Le Québec, terre autoproclamée de la Tolérance et du Respect de l'Autre empeste l'antisémitisme. Il schlingue le racisme anti-juif à plein nez. Cette face de moins en moins cachée du Québec, exprimée sous le couvert d'un simulacre de fierté nationale et de défense d'une culture à l'agonie, est franchement à vomir.

20070612

La "communauté internationale" à l'oeuvre...


Des nouvelles de l'ONU:

Le Conseil de sécurité de l'ONU n'a pas réussi lundi à trouver un consensus sur une déclaration proposée par la France visant à condamner l'affirmation par le président iranien Mahmoud Ahmadinejad que le «compte à rebours» pour l'annihilation d'Israël avait commencé.

L'ambassadeur des États-Unis, Zalmay Khalilzad a indiqué que certains membres du Conseil avaient encore des réserves sur le texte mais a exprimé l'espoir qu'un accord puisse être atteint «dans les prochains jours».

Selon des diplomates, le Qatar et l'Indonésie ont exprimé des réserves sur la teneur du texte français.

Le texte préparé par la France déclare que «les membres du Conseil condamnent vigoureusement les propos attribués à Mahmoud Ahmadinejad concernant la destruction d'Israël».

Il ajoute que les membres «réaffirment les droits et obligations de l'État d'Israël comme membre de plein droit et de longue date des Nations unies» et qu'«aux termes de la Charte de l'ONU, tous les membres se sont engagés à s'abstenir de la menace ou de l'utilisation de la force contre l'intégrité territoriale ou l'indépendance politique d'un autre».

M. Ahmadinejad avait déclaré le 3 juin: «Le compte à rebours a commencé pour l'annihilation du régime sioniste aux mains des peuples libanais et palestinien». «Dans un avenir proche, nous assisterons à l'annihilation du régime sioniste, si Dieu le veut», avait-il ajouté.


Religion de paix et d'amour...

Que le Conseil de sécurité soit incapable de s'entendre sur un texte non-contraignant s'appuyant sur la Charte même de l'organisation et condamnant les propos du président d'un État terroriste en pleine course à la bombe atomique appelant à l'annihilation d'un autre pays membre en dit long sur ce qui devrait arriver à ce misérable talking shop tiersmondiste qu'a toujours été l'ONU.

La seule bonne nouvelle: si Chirac était toujours président, la France se serait trouvée du côté des obstructionnistes plutôt que de celui des instigateurs de la résolution...

20070611

L'Apartheid Imaginaire


Cette semaine, Québec Solidaire joignait sa voix à celle d'autres larves pro-palestiniennes pour dénoncer, entre autres, l'occupation pourtant révolue par Israël de la bande de Gaza, l'arrêt de l'aide financière canadienne au gouvernement terroriste palestinien et le supposé régime "d'apartheid" qui prévaudrait à Gaza.

Cette dernière accusation, selon laquelle Israël serait un État d'apartheid analogue à l'Afrique du Sud, fut popularisée il y a quelques mois par Jimmy Carter, ex-président américain et islamophile antisémite notoire, lors de la sortie de son misérable tome intitulé "Palestine: Peace Not Apartheid".

Je me permet ici de reproduire dans son intégralité la traduction d'un excellent éditorial d'Alan Dershowitz, militant démocrate et professeur de droit criminel à l'Université Harvard, démolissant point par point ces conneries d'apartheid incluses dans la thèse de Carter, qui fut pourtant reprise avec enthousiasme par tout ce que l'Occident peut bien compter en termes de groupuscules islamomarxistes et autres infects ramassis de radicaux antisionistes:


Le monde selon Carter
Alan Dershowitz
03/12/2006
New York Sun, 27 novembre 2006


J’aime Jimmy Carter. Je le connais depuis qu’il a présenté sa candidature au poste de Président, au début de 1976. J’ai travaillé dur pour le faire élire et j’admire l’action du Centre Carter dans le monde. C’est pourquoi je suis tellement perturbé de ce que cet honnête homme ait écrit un livre aussi malhonnête sur le conflit israélo-palestinien.

Son parti pris anti-Israël se révèle dans le choix du titre du livre : " Palestine : la Paix et non l’Apartheid ". La suggestion selon laquelle, sans la paix, Israël est un Etat d’apartheid analogue à ce que fut l’Afrique du sud est clairement erronée. Le mal essentiel de l’apartheid de l’Afrique du Sud, contre lequel moi-même et de nombreux autres Juifs avons lutté, résidait dans le contrôle total qu’exerçait une petite minorité de blancs sur une majorité de noirs. C’était le contraire de la démocratie. En Israël, c’est une majorité qui décide ; c’est une démocratie séculière vigoureuse, qui vient juste de reconnaître les mariages homosexuels contractés à l’étranger. Des arabes sont députés à la Knesset, juges à la Cour suprême et ont le droit de voter pour désigner leurs représentants, dont beaucoup s’opposent fortement aux politiques israéliennes. Israël a proposé, à plusieurs reprises, de mettre fin à son occupation des zones qu’elle a conquises dans sa guerre de défense, en échange de la paix et d’une pleine reconnaissance. En réalité, ce sont les autres nations, arabes et musulmanes, qui pratiquent, de fait, l’apartheid. En Jordanie, aucun Juif ne peut être citoyen ni accéder à la propriété foncière. Il en va de même en Arabie Saoudite, où il y a des routes différentes pour les musulmans et les non-musulmans. Même dans l’Autorité palestinienne, l’influence croissante du Hamas fait peser la menace d’une hégémonie islamique sur les non-musulmans. Des Arabes chrétiens partent en foule.

Pourquoi donc Jimmy Carter invoque-t-il le concept d’apartheid dans son attaque contre Israël ? Il reconnaît pourtant lui-même – quoiqu’il ait enfoui cela vers la fin de son livre – que ce qui se passe en Israël, de nos jours, "contrairement à ce qui était le cas en Afrique du Sud, n’est pas du racisme, mais un processus d’acquisition de territoire". Mais la raison pour laquelle Israël s’accroche à cette terre est la prévention du terrorisme. Il a proposé, à maintes reprises, d’échanger la terre contre la paix, et il l’a fait à Gaza et au sud-Liban, avec pour seul résultat que ces territoires sont utilisés à des fins terroristes d’enlèvements et de tirs de roquettes.

J’ignore pourquoi Jimmy Carter, qui est généralement prudent, a laissé tant d’erreurs et d’omissions entacher son livre. Voici quelques-unes des plus flagrantes.

· Carter insiste sur le fait que "des chrétiens et des Arabes musulmans ont vécu sur la même terre depuis l’époque romaine", mais il néglige le fait que des Juifs ont vécu à Hébron, Safed, Jérusalem et dans d’autres villes depuis plus longtemps encore. Il n’évoque pas davantage l’expulsion de centaines de milliers de Juifs des pays arabes depuis 1948.

· Carter affirme, à plusieurs reprises, que les Palestiniens ont longtemps soutenu une solution à deux Etats et que les Israéliens s’y sont toujours opposés. Mais il ne mentionne pas le fait qu’en 1938, la Commission Peel a proposé une solution à deux Etats, où Israël ne recevait qu’une infime partie de son ancienne patrie, tandis que les Palestiniens recevaient la plus grande superficie de territoire. Les Juifs acceptèrent cette proposition, que les Palestiniens rejetèrent, parce que les dirigeants arabes avaient davantage à coeur qu’il n’y ait pas d’Etat juif en terre musulmane, que d’avoir leur propre Etat palestinien.

· C’est à peine s’il mentionne l’acceptation d’Israël et le rejet palestinien de la partition de la Palestine mandataire, en 1948.

· Il affirme qu’en 1967, Israël déclencha une guerre préventive contre la Jordanie. En fait, c’est la Jordanie qui, la première, attaqua Israël, alors que l’Etat hébreu essayait désespérément de la persuader de rester en dehors de la guerre. Israël ne contre-attaqua qu’après que l’armée jordanienne ait encerclé Jérusalem et tiré des missiles sur le centre de la ville. C’est alors seulement qu’il s’empara de la Cisjordanie, avec l’intention de la restituer en échange de la paix et de la reconnaissance d’Israël par la Jordanie.

· Carter mentionne, à plusieurs reprises, la Résolution 242 du Conseil de Sécurité, qui appelait à la restitution des territoires conquis en échange de la paix, de la reconnaissance mutuelle et de frontières sûres ; mais il passe sous silence le fait qu’Israël accepta cette Résolution, alors que les nations arabes et les Palestiniens la rejetèrent. Les Arabes se rencontrèrent à Khartoum et émirent leurs trois fameux "Non" : "Pas de paix, pas de reconnaissance, pas de négociation". Mais nul ne le saurait en lisant l’histoire selon Carter.

· Carter reproche à Israël "sa frappe aérienne qui détruisit un réacteur nucléaire iraqien", sans mentionner que l’Iraq avait menacé Israël d’attaque à l’arme nucléaire, s’il réussissait à réaliser une bombe.

· Carter fait des reproches à Israël à propos de son administration des sites religieux chrétiens et musulmans, alors qu’en fait, Israël garantit scrupuleusement à chaque religion le droit d’exercer son culte comme il l’entend, en tenant compte, bien sûr, de ses besoins sécuritaires. Il s’abstient de mentionner qu’entre 1948 et 1967, quand la Jordanie occupait la Cisjordanie et Jérusalem-est, les Hachémites détruisaient et profanaient des lieux saints juifs et empêchaient les Juifs de prier au Mur occidental. Il ne fait jamais mention de la brutale occupation de Gaza entre 1949 et 1967.

· Carter impute à Israël - alors qu’il en exonère Arafat - le refus palestinien d’accepter de créer un Etat sur 95% de la Cisjordanie et sur la totalité de Gaza, à la suite des propositions Clinton-Barak, à Camp David et Taba, en 2000-2001. Il accepte l’histoire révisionniste palestinienne, fait fi des comptes-rendus des témoins oculaires que sont le Président Clinton et Dennis Ross, et passe sous silence l’accusation du Prince saoudien, Bandar, selon laquelle le rejet par Arafat de la proposition était un "crime", et le compte-rendu d’Arafat "n’était pas véridique", sauf, apparemment, pour Carter.

· La manière dont Carter décrit la récente guerre au Liban est trompeuse. Il commence par affirmer que le Hezbollah a capturé deux soldats israéliens. La mot "capturé" suggère une arrestation militaire soumise au statut habituel de prisonnier de guerre. Or, les soldats ont été enlevés, et on est sans nouvelles d’eux depuis, sans le moindre signe de vie. Les attaques de roquettes qui ont précédé l’invasion d’Israël sont largement passées sous silence, de même que le fait que le Hezbollah tirait ses roquettes à partir de concentrations de populations civiles.

· Carter ne porte virtuellement pas au crédit d’Israël son superbe système judiciaire, il affirme au contraire, sans aucune référence à des textes, que "des aveux arrachés par la torture sont admis par les tribunaux israéliens", que des prisonniers sont "exécutés" et que les "accusateurs" agissent "comme des juges". Même les plus sévères critiques d’Israël reconnaissent l’équité de la Cour Suprême israélienne, mais pas Carter.

· Carter impute même à Israël la responsabilité de l’"exode des chrétiens de la Terre Sainte", faisant totalement l’impasse sur l’islamisation de la région par le Hamas et l’exode comparable des Arabes du Liban, qui résulte de l’influence croissante du Hezbollah et des assassinats à répétition de dirigeants chrétiens par la Syrie.

· Carter accuse aussi toutes les administrations américaines, excepté la sienne, d’être responsables de l’impasse au Moyen-Orient, et il insiste particulièrement sur la "soumission de la Maison Blanche et du Congrès, ces dernières années". Il recourt à l’hyperbole et à l’emphase quand il affirme que "le dialogue sur des questions controversées est un privilège accordé seulement à titre de récompense pour un comportement servile, et ôté à ceux qui rejettent les exigences américaines". Il met sur le même pied des Etats terroristes, tels l’Iran et la Syrie avec lesquels nous ne consentons pas à dialoguer, et des Etats, comme la France et la Chine, avec lesquels nous avons de profondes divergences, mais maintenons un dialogue.

J’espère que le Président Carter envisagera sérieusement de réparer ces omissions et ces erreurs. Il entame bientôt une tournée de promotion de son livre et aura donc l’occasion de corriger ce qui doit l’être.

Alan Dershowitz

© The New York Sun

20070430

Le problème avec l'islam

Le Dr Tawfiq Hamid est un ex-membre de l'organisation terroriste Jamea'h al Islamyah. Il est aujourd'hui médecin et il vit en Occident ou il est l'initiateur d'un mouvement réformateur.

Le problème avec l'islam
Par le Dr Tawfiq Hamid paru dans Wall Street Journal, le 3 avril 2007

Traduit par Albert Soued pour http://www.nuitdorient.com
Titre Original : The Trouble With Islam


Il est triste de constater que l'ensemble de l'enseignement musulman tolère et encourage la violence.

Il y a peu de temps le brillant orientaliste Bernard Lewis a publié une brève histoire décrivant le déclin du monde islamique avec pour titre "Qu'est ce qui a mal tourné ?". Aussi étonnant que cela puisse paraitre, de nombreuses voix "progressistes" en Occident se sont élevées pour la dénoncer. Ces voix ne tenaient pas compte du fait que Mr Lewis disait implicitement que la situation avait été meilleure auparavant et pourrait s'améliorer dans l’avenir. Mais il est clair qu’aujourd'hui la situation n'est pas bonne dans le monde islamique.

Les femmes sont lapidées à mort et subissent l’excision. Les homosexuels sont pendus sous le regard approbateur des partisans de la Charia, le code légal de l'Islam. Les sunnites et les shiites s'entredéchirent tous les jours en Irak. Les mères palestiniennes enseignent à leurs enfants de 3 ans le monde idéal du martyr. On peut comprendre que les tenants de l'orthodoxie musulmane puissent rejeter ces accusations, mais on comprend moins que les "prêtres non-musulmans" du Siècle des Lumières se précipitent pour les absoudre.

Ces progressistes donnent comme argument la nécessité d'aller à la racine des problèmes. D'accord. Le terrorisme est la manifestation d'un malaise, et n'est pas le malaise lui-même. Mais les racines du terrorisme ne sont pas celles auxquelles pensent ces progressistes. Je suis un ancien membre de la Jamea'h al Islamyah, un groupe dirigé par Ayman al Zawahiri, n°2 d'al Qaeda. Je peux vous garantir que l'enseignement inhumain de l'idéologie islamiste peut transformer un esprit ouvert en un terroriste. Et on ne peut combattre le terrorisme musulman sans aller aux racines idéologiques de l'Islam radical. Et la principale racine de la terreur a comme nom le "salafisme", une version ultra-conservatrice et violente de la religion .

Il est vital de comprendre que le courant traditionnel et même principal de l'enseignement islamique accepte et encourage la violence. Ainsi la Charia permet de tuer les apostats, de frapper les femmes pour les discipliner, de pratiquer le prosélytisme en direction des non-musulmans. Elle permet de les convertir par la guerre ou de les placer dans un statut de protection, comme dhimmis, citoyens inférieurs. Notre loi islamique exhorte tout croyant à exterminer les Juifs, avant le Jugement Dernier. Le silence assourdissant de la majorité des Musulmans devant ces pratiques barbares est le témoignage évident qu'il y a une erreur à la base.

Le monde islamique est vraiment dans une situation difficile. On n'a pas d'interprétation du Coran rigoureuse sur le plan théologique qui puisse mettre clairement en cause les abus de la Charia. Ainsi une branche tolérante de l'Islam comme le soufisme ne fournit pas la base théologique essentielle qui pourrait annuler les proclamations cruelles des groupes salafistes. Ainsi depuis plus de 20 ans j'essaie de développer une théologie rigoureuse de l'Islam qui enseigne la paix.

Cependant, il est ironique et décourageant de constater que des intellectuels Occidentaux non-musulmans – qui soi-disant soutiennent les droits de l'homme – sont devenus des obstacles à la réforme de l'Islam. L'"islamiquement correct" en Occident est devenu un obstacle infranchissable pour la critique d'une Charia inhumaine. Ces Occidentaux trouvent des excuses au terrorisme islamique comme la pauvreté, le colonialisme, la discrimination, ou la création d'Israël. Alors quelle incitation les Musulmans ont-ils pour demander la réforme, alors que des Occidentaux dits "progressistes" ouvrent la voie d'un Islam barbare ? Si le problème n'est pas la croyance religieuse comme ceux-ci le disent, alors pourquoi les Chrétiens qui vivent en milieu arabo-musulman, dans les mêmes conditions que les Musulmans ne se livrent-ils pas à des campagnes de terrorisme à grande échelle?

De même, des politiciens et des universitaires occidentaux ont adopté le refrain que l'extrémisme islamique serait né du conflit israélo-arabe. Cette analyse ne convainc aucun esprit rationnel : le meurtre de 150 000 innocents en Algérie, l'assassinat de centaines de bouddhistes en Thaïlande, ou la violence inouïe entre shiites et sunnites en Irak ont-ils un rapport quelconque avec le conflit israélo-arabe ?

Les féministes occidentales se battent chez elles pour un salaire égal à celui des hommes et pour des chances égales. Sous prétexte de relativisme culturel, ces même féministes ne s'inquiètent pas du fait que les femmes dans le monde islamique soient battues, exécutées, subissent des mutilations génitales, ne puissent pas voter, conduire une voiture ou s'habiller comme il leur plaît.

La tendance à l'autocensure des Occidentaux dans leurs critiques empêche la réforme de l'Islam. Les Américains manifestent contre la guerre en Irak, mais s'abstiennent de toute réaction quand des terroristes enlèvent des innocents et les décapitent. Ainsi après les attentas de Madrid, des millions de citoyens espagnols ont manifesté contre l'ETA. Quand ils ont réalisé leur méprise et que c’était des Musulmans qui étaient derrière cette terreur, les manifestations ont cessé. Cette attitude envoie un message d'encouragement aux Islamistes radicaux afin qu'ils persévèrent dans la violence. L'apaisement des Occidentaux à l'égard des communautés musulmanes a exacerbé le problème.

Pendant la période de 4 mois qui a suivi la publication des caricatures de Mahomet dans un magazine danois, il n’y avait pas de manifestations de Musulmans. Après les excuses du magazine danois, des émeutes ont éclaté dans le monde entier. Les excuses ont été perçues comme une faiblesse et une concession par les Islamistes.

Pire que tout peut-être, est le sentiment anti-américain. Ce ressentiment est si profondément ancré dans l'identité individuelle qu'il a mené, consciemment ou non, de nombreux Occidentaux à soutenir moralement les ennemis de l'Amérique. Ces gens doivent comprendre que l'Islam radical est essentiellement anti-libéral, totalitaire et qu'il signifie la mort de toutes les valeurs occidentales. Les droits de l'Homme et la dignité dont nous bénéficions en Amérique ou ailleurs ne sont pas acquis.

Le dialogue inter-religieux avec les Musulmans n'a rien donné. On devrait exiger des organisations et des érudits musulmans qu'ils dénoncent sans ambiguïté le salafisme et la violence dans les mosquées, les écoles et les médias. On ne doit plus considérer comme "modéré" tout Musulman qui ne dénonce pas haut et fort les décrets inhumains de la Charia.

Tout cela rend notre travail plus difficile, nous autres Musulmans de la réforme. Quand les Occidentaux font des excuses "politiquement correctes" aux Islamistes, cela met en danger nos vies, en tout cas cela nous bâillonne. La Tolérance ne signifie pas accepter des atrocités sous le prétexte de "relativisme" culturel. Il est grand temps de voir, dans le monde libre, la réalité du salafisme en face, sinon c'est la réalité de l'Islam radical qui nous fera face.

20070429

The Odd Couple


David Ouellette (Judeoscope) sur la convergence de plus en plus évidente entre la gauche radicale et l'islamisme militant:

Lors du conflit entre le Hezbollah et Israël de l’été dernier, de nombreux Canadiens et Québécois ont assisté avec étonnement à des manifestations anti-israéliennes où se solidarisaient partisans du Hezbollah et militants du mouvement “anti-guerre” autour des mêmes slogans haineux. Une conférence internationale tenue au Caire du 29 mars au 1er avril derniers permet d’éclairer les liens idéologiques étroits qui unissent le mouvement “anti-guerre” et les islamistes radicaux.

En effet, des représentants de la gauche internationale et canadienne ont répondu à l’appel de la 5e conférence annuelle du Caire sur le thème Vers une alliance internationale contre l’impérialisme et le sionisme “à appuyer inconditionnellement toutes les forces de la résistance contre l’impérialisme et le sionisme en Palestine, en Irak et au Liban”.

Le journaliste canadien Eric Walberg* signalait récemment dans l’édition hebdomadaire anglaise du quotidien égyptien Al-Ahram que cette conférence fut l’occasion de constater “la collaboration croissante au sein du monde musulman entre la gauche anti-mondialisation et les musulmans”.


[SUITE]

20070403

Michel Vastel: antisémite un jour...

Derrière les prises de position vertueuses de Michel Vastel en faveur des Palestiniens et de leur gouvernement terroriste se cache un antisémitisme moyennâgeux et débilitant, digne de l'Âge des Ténèbres...



B'nai Brith Canada today condemned Le Soleil columnist Michel Vastel for remarks he made during an interview on CKVL yesterday. Twice during the course of his interview with host Pierre Pascau, Vastel blamed Jews for killing Christ.

The interview was a response to B'nai Brith's call for renaming a Montreal metro station which bears the name of the xenophobic cleric Lionel Groulx. The organization suggested that the name of the late Paul Emile Cardinal Leger might be appropriate.




Après avoir été le premier gouvernement occidental à rompre avec le gouvernement palestinien et à couper les vivres aux organisations humanitaires palestiniennes, le gouvernement canadien sera aussi le dernier à reprendre le dialogue.

Le Canada maintient la ligne dure, et impose des privations inacceptables à une population déjà très éprouvée. La seule explication de cette attitude de Stephen Harper est l'infuence du lobby juif et sa conviction que ce lobby a les moyens de punir son gouvernement.


Voici, à l'attention de Vastel, l'essentiel de la doctrine Harper au Moyen-Orient: dans une lutte à finir entre une démocratie libérale occidentale et un régime terroriste génocidaire, on soutient le premier au détriment du second.

Le "lobby juif" qui soit dit en passant appuie toujours en masse les libéraux, n'a strictement rien à voir là-dedans, autre que de nourrir les lubies des vieux antisémites locaux...

20070323

L'hypocrite

Ainsi donc, notre Dédé national condamne avec la plus grande fermeté les propos du gros colon antisémite de l'ADQ, Gilles Gagnon... Bravo, bravo. Mais regardez-donc qui tentait de se faire du capital politique, l'été dernier, dans une manif anti-israélienne:


Entouré de gens comme ça:








Vaut parfois mieux s'la fermer...

20070322

Québec Solidaire infiltre l'ADQ

Un autre qui voit des complots juifs partout:


Un autre candidat adéquiste pourrait avoir mis son chef dans l’embarras. Sur le site Web d’une entreprise qu’il a fondée, Gilles Gagnon, candidat de l’ADQ dans Abitibi-Est, accuse des «Juifs américains et européens» de faire «des guerres pour replacer leur économie au lieu de répartir la richesse équitablement».

M. Gagnon a fait parler de lui en début de campagne électorale lorsque des propos jugés homophobes tenus dans le passé ont été ramenés à l’avant-scène. Cette fois, c’est sur un portail Internet qu’il a lui-même mis sur pied que l’on retrouve les déclarations en question.

Dans son site truffé de fautes de français, le candidat présente un système assez fumeux d’économie collective qu’il a élaboré afin d’aider, dit-il, les consommateurs et les commerçants. En voici quelques phrases : «Il ne faut pas que notre programme soit un fardeau pour les marchands et surtout pas qu’il nuise aux propriétaires de la banque du Canada US.»

«Ça appartient à des gens des États-Unis et de l’Europe pour ne pas dire aux Juifs américains et européens, explique-t-il à propos de cette banque. Ils font des guerres pour replacer leur économie au lieu de répartir la richesse équitablement.»


Sans commentaire...


Voici tout de même l'idiot en question: