Cette semaine, Québec Solidaire joignait sa voix à celle d'autres larves pro-palestiniennes pour dénoncer, entre autres, l'occupation pourtant révolue par Israël de la bande de Gaza, l'arrêt de l'aide financière canadienne au gouvernement terroriste palestinien et le supposé régime "d'apartheid" qui prévaudrait à Gaza.
Cette dernière accusation, selon laquelle Israël serait un État d'apartheid analogue à l'Afrique du Sud, fut popularisée il y a quelques mois par Jimmy Carter, ex-président américain et islamophile antisémite notoire, lors de la sortie de son misérable tome intitulé "Palestine: Peace Not Apartheid".
Je me permet ici de reproduire dans son intégralité la traduction d'un excellent éditorial d'Alan Dershowitz, militant démocrate et professeur de droit criminel à l'Université Harvard, démolissant point par point ces conneries d'apartheid incluses dans la thèse de Carter, qui fut pourtant reprise avec enthousiasme par tout ce que l'Occident peut bien compter en termes de groupuscules islamomarxistes et autres infects ramassis de radicaux antisionistes:
Cette dernière accusation, selon laquelle Israël serait un État d'apartheid analogue à l'Afrique du Sud, fut popularisée il y a quelques mois par Jimmy Carter, ex-président américain et islamophile antisémite notoire, lors de la sortie de son misérable tome intitulé "Palestine: Peace Not Apartheid".
Je me permet ici de reproduire dans son intégralité la traduction d'un excellent éditorial d'Alan Dershowitz, militant démocrate et professeur de droit criminel à l'Université Harvard, démolissant point par point ces conneries d'apartheid incluses dans la thèse de Carter, qui fut pourtant reprise avec enthousiasme par tout ce que l'Occident peut bien compter en termes de groupuscules islamomarxistes et autres infects ramassis de radicaux antisionistes:
Le monde selon Carter
Alan Dershowitz
03/12/2006
New York Sun, 27 novembre 2006
J’aime Jimmy Carter. Je le connais depuis qu’il a présenté sa candidature au poste de Président, au début de 1976. J’ai travaillé dur pour le faire élire et j’admire l’action du Centre Carter dans le monde. C’est pourquoi je suis tellement perturbé de ce que cet honnête homme ait écrit un livre aussi malhonnête sur le conflit israélo-palestinien.
Son parti pris anti-Israël se révèle dans le choix du titre du livre : " Palestine : la Paix et non l’Apartheid ". La suggestion selon laquelle, sans la paix, Israël est un Etat d’apartheid analogue à ce que fut l’Afrique du sud est clairement erronée. Le mal essentiel de l’apartheid de l’Afrique du Sud, contre lequel moi-même et de nombreux autres Juifs avons lutté, résidait dans le contrôle total qu’exerçait une petite minorité de blancs sur une majorité de noirs. C’était le contraire de la démocratie. En Israël, c’est une majorité qui décide ; c’est une démocratie séculière vigoureuse, qui vient juste de reconnaître les mariages homosexuels contractés à l’étranger. Des arabes sont députés à la Knesset, juges à la Cour suprême et ont le droit de voter pour désigner leurs représentants, dont beaucoup s’opposent fortement aux politiques israéliennes. Israël a proposé, à plusieurs reprises, de mettre fin à son occupation des zones qu’elle a conquises dans sa guerre de défense, en échange de la paix et d’une pleine reconnaissance. En réalité, ce sont les autres nations, arabes et musulmanes, qui pratiquent, de fait, l’apartheid. En Jordanie, aucun Juif ne peut être citoyen ni accéder à la propriété foncière. Il en va de même en Arabie Saoudite, où il y a des routes différentes pour les musulmans et les non-musulmans. Même dans l’Autorité palestinienne, l’influence croissante du Hamas fait peser la menace d’une hégémonie islamique sur les non-musulmans. Des Arabes chrétiens partent en foule.
Pourquoi donc Jimmy Carter invoque-t-il le concept d’apartheid dans son attaque contre Israël ? Il reconnaît pourtant lui-même – quoiqu’il ait enfoui cela vers la fin de son livre – que ce qui se passe en Israël, de nos jours, "contrairement à ce qui était le cas en Afrique du Sud, n’est pas du racisme, mais un processus d’acquisition de territoire". Mais la raison pour laquelle Israël s’accroche à cette terre est la prévention du terrorisme. Il a proposé, à maintes reprises, d’échanger la terre contre la paix, et il l’a fait à Gaza et au sud-Liban, avec pour seul résultat que ces territoires sont utilisés à des fins terroristes d’enlèvements et de tirs de roquettes.
J’ignore pourquoi Jimmy Carter, qui est généralement prudent, a laissé tant d’erreurs et d’omissions entacher son livre. Voici quelques-unes des plus flagrantes.
· Carter insiste sur le fait que "des chrétiens et des Arabes musulmans ont vécu sur la même terre depuis l’époque romaine", mais il néglige le fait que des Juifs ont vécu à Hébron, Safed, Jérusalem et dans d’autres villes depuis plus longtemps encore. Il n’évoque pas davantage l’expulsion de centaines de milliers de Juifs des pays arabes depuis 1948.
· Carter affirme, à plusieurs reprises, que les Palestiniens ont longtemps soutenu une solution à deux Etats et que les Israéliens s’y sont toujours opposés. Mais il ne mentionne pas le fait qu’en 1938, la Commission Peel a proposé une solution à deux Etats, où Israël ne recevait qu’une infime partie de son ancienne patrie, tandis que les Palestiniens recevaient la plus grande superficie de territoire. Les Juifs acceptèrent cette proposition, que les Palestiniens rejetèrent, parce que les dirigeants arabes avaient davantage à coeur qu’il n’y ait pas d’Etat juif en terre musulmane, que d’avoir leur propre Etat palestinien.
· C’est à peine s’il mentionne l’acceptation d’Israël et le rejet palestinien de la partition de la Palestine mandataire, en 1948.
· Il affirme qu’en 1967, Israël déclencha une guerre préventive contre la Jordanie. En fait, c’est la Jordanie qui, la première, attaqua Israël, alors que l’Etat hébreu essayait désespérément de la persuader de rester en dehors de la guerre. Israël ne contre-attaqua qu’après que l’armée jordanienne ait encerclé Jérusalem et tiré des missiles sur le centre de la ville. C’est alors seulement qu’il s’empara de la Cisjordanie, avec l’intention de la restituer en échange de la paix et de la reconnaissance d’Israël par la Jordanie.
· Carter mentionne, à plusieurs reprises, la Résolution 242 du Conseil de Sécurité, qui appelait à la restitution des territoires conquis en échange de la paix, de la reconnaissance mutuelle et de frontières sûres ; mais il passe sous silence le fait qu’Israël accepta cette Résolution, alors que les nations arabes et les Palestiniens la rejetèrent. Les Arabes se rencontrèrent à Khartoum et émirent leurs trois fameux "Non" : "Pas de paix, pas de reconnaissance, pas de négociation". Mais nul ne le saurait en lisant l’histoire selon Carter.
· Carter reproche à Israël "sa frappe aérienne qui détruisit un réacteur nucléaire iraqien", sans mentionner que l’Iraq avait menacé Israël d’attaque à l’arme nucléaire, s’il réussissait à réaliser une bombe.
· Carter fait des reproches à Israël à propos de son administration des sites religieux chrétiens et musulmans, alors qu’en fait, Israël garantit scrupuleusement à chaque religion le droit d’exercer son culte comme il l’entend, en tenant compte, bien sûr, de ses besoins sécuritaires. Il s’abstient de mentionner qu’entre 1948 et 1967, quand la Jordanie occupait la Cisjordanie et Jérusalem-est, les Hachémites détruisaient et profanaient des lieux saints juifs et empêchaient les Juifs de prier au Mur occidental. Il ne fait jamais mention de la brutale occupation de Gaza entre 1949 et 1967.
· Carter impute à Israël - alors qu’il en exonère Arafat - le refus palestinien d’accepter de créer un Etat sur 95% de la Cisjordanie et sur la totalité de Gaza, à la suite des propositions Clinton-Barak, à Camp David et Taba, en 2000-2001. Il accepte l’histoire révisionniste palestinienne, fait fi des comptes-rendus des témoins oculaires que sont le Président Clinton et Dennis Ross, et passe sous silence l’accusation du Prince saoudien, Bandar, selon laquelle le rejet par Arafat de la proposition était un "crime", et le compte-rendu d’Arafat "n’était pas véridique", sauf, apparemment, pour Carter.
· La manière dont Carter décrit la récente guerre au Liban est trompeuse. Il commence par affirmer que le Hezbollah a capturé deux soldats israéliens. La mot "capturé" suggère une arrestation militaire soumise au statut habituel de prisonnier de guerre. Or, les soldats ont été enlevés, et on est sans nouvelles d’eux depuis, sans le moindre signe de vie. Les attaques de roquettes qui ont précédé l’invasion d’Israël sont largement passées sous silence, de même que le fait que le Hezbollah tirait ses roquettes à partir de concentrations de populations civiles.
· Carter ne porte virtuellement pas au crédit d’Israël son superbe système judiciaire, il affirme au contraire, sans aucune référence à des textes, que "des aveux arrachés par la torture sont admis par les tribunaux israéliens", que des prisonniers sont "exécutés" et que les "accusateurs" agissent "comme des juges". Même les plus sévères critiques d’Israël reconnaissent l’équité de la Cour Suprême israélienne, mais pas Carter.
· Carter impute même à Israël la responsabilité de l’"exode des chrétiens de la Terre Sainte", faisant totalement l’impasse sur l’islamisation de la région par le Hamas et l’exode comparable des Arabes du Liban, qui résulte de l’influence croissante du Hezbollah et des assassinats à répétition de dirigeants chrétiens par la Syrie.
· Carter accuse aussi toutes les administrations américaines, excepté la sienne, d’être responsables de l’impasse au Moyen-Orient, et il insiste particulièrement sur la "soumission de la Maison Blanche et du Congrès, ces dernières années". Il recourt à l’hyperbole et à l’emphase quand il affirme que "le dialogue sur des questions controversées est un privilège accordé seulement à titre de récompense pour un comportement servile, et ôté à ceux qui rejettent les exigences américaines". Il met sur le même pied des Etats terroristes, tels l’Iran et la Syrie avec lesquels nous ne consentons pas à dialoguer, et des Etats, comme la France et la Chine, avec lesquels nous avons de profondes divergences, mais maintenons un dialogue.
J’espère que le Président Carter envisagera sérieusement de réparer ces omissions et ces erreurs. Il entame bientôt une tournée de promotion de son livre et aura donc l’occasion de corriger ce qui doit l’être.
Alan Dershowitz
© The New York Sun
16 commentaires:
C'est plutôt toi qu'on devrait accuser, Gogauche Watch. À chaque fois qu'on a défendu les droits du peuple palestinien, on s'est fait chier dessus par tes complices (David d'Antagoniste en premier lieu). C'est vous, les ultra-sionistes qui inventez des faits, pas nous. Déjà que tu dis de Carter qu'il est islamophile et quand tu dis de Dumont est un bolchévique de droite, tu me fais pitié.
RW - Reactionism Watch
Il n'y a pas "d'ultra-sionistes". Il y a des sionistes, qui appuient l'existence d'Israel et des antisionistes, comme toi, qui ne l'appuient pas.
On invente pas des faits, c'est vous qui n'en tenez pas compte.
Manifester contre une occupation qui n'existe plus, c'est ça qui fait pitié.
Pour ce qui est de Carter, il s'agit d'un lèche-cul du totalitarisme à la Chirac. On lui doit entre autres l'invasion soviétique de l'Afghanistan et la révolution islamique iranienne.
Sans oublier son appel à l'URSS pour miner la candidature de Reagan aux présidentielles '84...
Dumont, quant à lui, depuis son accession à l'opposition officielle, s'est prononcé contre la privatisation du Mont Orford, contre les baisses d'impôts et pour le protectionnisme culturel.
Depuis le 26 mars, Dumont n'a probablement pas trouvé un seul sujet de désagrément avec Québec Solidaire...
Si c'est ça la droite, très peu pour moi...
On croit que les juifs ont le droit de vivre en paix, en Israël, mais que par contre, que les arabes devraient bénéficier des mêmes droits et que le gouvernement et l'armée israélienne devrait cesser la violation des droits humains. Toutes les preuves sont contre le gouvernement israélien, accepte le.
"Dumont, quant à lui, depuis son accession à l'opposition officielle, s'est prononcé contre la privatisation du Mont Orford, contre les baisses d'impôts et pour le protectionnisme culturel."
Qu'est qu'il y a de mal là-dedans ? Il ne fait que son fin pour s'attirer les faveurs de la population, qui sont majoritairement contre la privatisation du Mont Orford et qui se fichent en grande majorité des baisses d'impôts. Pourquoi il serait un bolchévique en étant contre les baisses d'impôts ? Ce n'est qu'une mesure pour avantager ceux qui ont les plus gros revenus. C'est juste du gros bon sens, l'argent de ces baisses d'impôts aurait pu servir à financer notre système d'éducation. Au lieu qu'on ait d'insignifiante baisses d'impôts (12$ par semaine pour moi), Charest aurait pu financer les secteurs qui manquent de beaucoup d'argent.
RWatch
En passant, pour la révolution islamique, elle était à l'origine une révolution qui retenait du socialisme (les communistes iraniens y étaient très impliqués) mais les grandes puissances leur ont volés cette révolution totalement justifiée en mettant au pouvoir l'Ayatollah Khomeini qui était alors en France.
En quoi le gouvernement israélien viole-t-il les droits humains des Palestiniens???
À chaque année, des centaines de Palestiniens commettent sciemment des délits mineurs en Israel dans l'espoir de s'y faire emprisonner.
Les conditions de vie des prisons israéliennes, selon eux, sont meilleures que la vie en liberté à Gaza.
Dumont est une espèce de version non-xénophobe de Jean-Marie Le Pen.
Une droite culturelle mélangée à une démagogie crasse au plan économique.
Ça m'est particulièrement répugnant...
Si le gouvernement Charest avait fait sa job et avait expliqué à la population que le Mont Orford est une foire déficitaire, je pense que la majorité l'aurait suivi...
Pour ce qui est du reste...c'est bien évident que la majorité de la population se fiche des baisses d'impôts puisque la majorité de la population n'en paie pas.
12$ X 52 semaines = 624 $
Fais un chèque à Revenu Québec ou donne le aux pauvres tant qu'à cracher dessus.
Révolution socialiste ou islamiste...
Quelle est la différence?
Que le totalitarisme soit rouge, vert ou brun, ça change rien...
La révolution socialiste était supposée donner le pouvoir réelle au peuple. Ce sont les réactionnaires que tu soutient sans cesse qui ont installés les religieux radicaux en Iran. Si t'aime pas Dumont, quel est ton modèle de droite dans ce cas ? Il est pas assez anti-gauche et anti-ouvrier pour toi ? Il véhicule pas assez tes valeurs répugnantes néo-libérales ? Il veut pas privatiser tout ce que monsieur GGW voudrait ? Perso, je m'en fiche bien de ce 624 $, je préfèrerai presque qu'il soit investi dans l'éducation des jeunes au Québec. Je crois que l'ADQ à pris une sage décision, mais ils ont encore le temps de se planter.
Pour Israel, le RWatch soutient entièrement le PAJU, Palestiniens et Juifs Unis contre l'occupation. Les preuves s'accummulent contre le camp sioniste que tu soutient. Qu'est que tu fais des colonies israéliennes ?
Parler contre Israël, c'est interdit ; mais, parler contre la Palestine et tout peuple arabe, c'est encouragé ! Tellement que tu fais des tonnes de billets traitant des "terroristes" arabes en les crachant dessus parce que tu crois fermement que le MAL = arabe, BIEN = juif. Pourtant, ça n'a rien à avoir.
Je le dis, le sionisme n'est qu'une face cachée du nazisme. Plusieurs pratiques du sionisme ressemblent à celles du nazisme dont les attaques éclaires (Liban / Égypte / Syrie), la censure, violation des résolutions imposées, croyance d'une "race supérieure" (dans ce cas-ci, les juifs - chose que beaucoup de juifs s'opposent et dénoncent) et l'hostilité envers un peuple (dans ce cas-ci, les arabes) en les culpabilisant.
RW
De quels "reactionnaires" parles-tu? Jimmy Carter?
Mon modèle de droite, c'est Benjamin Constant, c'est Simon Bolivar, c'est Margaret Thatcher, c'est Jean-François Revel, c'est Paul Reynaud.
Les colonies maintenant...ces territoires ont été conquis par Israel à la suite d'une guerre défensive contre trois agresseurs cherchant ouvertement sa destruction. C'est sans doute la seule occurence dans l'histoire de la guerre moderne où une puissance victorieuse accepta la rétrocession de terres acquises à la suite d'une guerre d'agression lancée contre elle...
On a vu ce que Gaza est devenu depuis le départ d'Israel...au point où Reuters rapportait cette semaine que certains Palestiniens souhaitent ardemment le retour de Tsahal.
Le sionisme, c'est l'appui à l'existence d'un État juif en Palestine. Ça n'a strictement rien à voir avec le nazisme. Les seuls qu'on pourrait apparenter à des nazis dans ce coin-là, ce sont les terroristes du Hamas et du Hezbollah. Savais-tu que Mein Kampf est le livre le plus vendu à Gaza... Je doute que ce soit un best-seller à Tel-Aviv.
Simon Bolivar, tu ris tu de moi ? C'est son idéologie qui est utilisée par Hugo Chavez, le dirigeant le plus à gauche de l'Amérique Latine...
Et qu'est que Mme.Tatcher à fait sinon de faire empirer l'état économique de son pays ? Qui s'est améliorée seulement depuis les travaillistes...
Il utilise le nom de Bolivar, par pure démagogie...
Bolivar était un libéral-consevateur dans la plus pure tradition de la Révolution américaine.
Lorsque Thatcher est arrivée au pouvoir en 1979, l'économie britannique était 25% moindre que l'économie française, à population égale. À son départ en 1990, elle était 25% supérieure. À la décharge de la France, alors que Thatcher sortait la Grande-Bretagne de son misérabilisme, Mitterrand, à la tête d'une coalition socialo-communiste, faisait entrer son pays dans un déclin duquel il n'est toujours pas sorti un quart de siècle plus tard...
Les travaillistes ont eu du succès précisément parce que Blair n'a jamais renié l'héritage de Thatcher.
Tiens parlant de Bolivar:
He had seen his dream of eventually creating an American Revolution-style federation between all the newly independent republics, with a government ideally set-up solely to recognize and uphold individual rights.
On his deathbed, Bolívar asked his aide-de-camp, General Daniel Florencio O'Leary to burn the extensive archive of his writings, letters, and speeches. O'Leary disobeyed the order and his writings survived, providing historians with a vast wealth of information about Bolívar's liberal philosophy and thought.
He was a great admirer of the American Revolution and a great critic of the French Revolution. Bolívar described himself in his many letters as a "liberal" and defender of the free man.
Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Simon_Bolivar#Political_legacy
Tu remarqueras qu'on est loin de Chavez...
En passant, c'est pas juste un libéral qui peut se réclamer des libertés individuelles, camarade et est-ce que tu verrais le mot "communiste" partout ?
Assume ton idéologie.
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