20070911

20070910

Blanche repentence


Dans une société évoluée, l'être humain qui fait de la dignité et du respect de l'autre son credo, qui croit à la justice sociale et à la pluralité de pensées, n'a pas de mea-culpa à faire ou d'excuses à exprimer pour les actions maléfiques de ceux qui ont vécu avant lui.

Celui qui est né dans un pays construit par ses ancêtres n'a pas à se percevoir comme un nouvel arrivant afin que celui qui débarque ne se sente pas étranger. L'ouverture aux autres, à entendre certains, passerait par la honte de l'affirmation de soi et un sentiment de culpabilité à cause des crimes commis par ceux qui ont appartenu à l'Occident. Les Blancs ne sont ni meilleurs ni pires que les Jaunes, les Noirs, les Bruns ou les Verts.

Décidément, les fondamentalistes religieux à l'origine de notre saga actuelle incarnée par la commission Bouchard-Taylor auront réussi leur coup, eux qui ont compris notre fragilité légendaire.
Ce sont nos assises mêmes qui risquent l'effritement en ouvrant la porte au multiculturalisme désintégrateur.

20070908

Camarade Oussama


"It has now become clear to you and the entire world the impotence of the democratic system and how it plays with the interests of the peoples and their blood by sacrificing soldiers and populations to achieve the interests of the major corporations."

- Oussama Ben Laden

20070804

GGW Book Club



"Global warming":


the Left's last best chance to gain a stranglehold on our political system and economy

For decades, environmentalism has been the Left's best excuse for increasing government control over our actions in ways both large and small. It's for Mother Earth! It's for the children! It's for the whales! But until now, the doomsday-scenario environmental scares they've trumped up haven't been large enough to justify the lifestyle restrictions they want to impose. With global warming, however, greenhouse gasbags can argue that auto emissions in Ohio threaten people in Paris, and that only "global governance" (Jacques Chirac's words) can tackle such problems.

Now, in The Politically Incorrect Guide(tm) to Global Warming and Environmentalism, Christopher C. Horner tears the cover off the Left's manipulation of environmental issues for political purposes--and lays out incontrovertible evidence for the fact that catastrophic man-made global warming is just more Chicken-Little hysteria, not actual science. He explains why, although Al Gore and his cronies among the media elites and UN globalists endlessly bleat that "global warming" is an unprecedented global crisis, they really think of it as a dream come true. It's the ideal scare campaign for those who hate capitalism and love big government. For, as Horner explains, if global warming really were as bad as the Leftist doomsayers insist it is, then no policy imaginable could "solve" it. According to the logic of the greens' own numbers, no matter how much we sacrifice there would still be more to do. That makes global warming the bottomless well of excuses for the relentless growth of big government.

Horner (an attorney and senior fellow at the Competitive Enterprise Institute) reveals the full anti-American, anti-capitalist, and anti-human agenda of today's environmentalists, dubbing them "green on the outside, red to the core." He details how they use strong-arm legal tactics--and worse--against those who dare to point out the weakness of their arguments for global warming. Along the way, he explodes ten top global warming myths, carefully examining the evidence to determine how much warming there really is and what is actually causing it. He exposes the lies that the environmental lobby routinely tells to make its case; the ways in which it is trying to impose initiatives such as the Kyoto Protocol on an unwilling American public; and much more--including the green lobby's favorite politicians (John Kerry, John McCain, Joe Lieberman, and others).


It's time to stand up to the environmentalist industry and insist: human beings are not the enemy. In breezy, light-hearted, and always entertaining fashion, The Politically Incorrect Guide(tm) to Global Warming and Environmentalism gives you the facts you need to do so.

Prise 2?

Une nouvelle guerre semble se préparer au Moyen-Orient...

Alors que la Syrie renforce les dispositifs militaires sur son versant du Golan, les réservistes de l'armée auraient reçu l'interdiction de quitter le pays.

De son côté, Israël se dit prêt en vue de la possibilité du déclenchement d'une guerre totale avec la Syrie pouvant survenir à tout moment.

Tsahal pourrait finalement avoir la chance de terminer le travail inachevé entamé l'été dernier.

20070803

Le Hummer: un choix écologique!



Yahoo France Auto
LE HUMMER PLUS ÉCOLO QUE LA PRIUS!
18/1/2007

Des dents vont grincer, des visages vont se figer : le Hummer H3 serait plus écologique que la Toyota Prius Hybride. Explications.

Il s'agit des résultats d'une enquête menée par le bureau d'études américain CNW Marketing Research (www.cnwmr.com) sur 320 modèles présents sur le marché américain. Cette enquête tient compte, une fois n'est pas coutume, de trois critères quoi paraissent indispensables à toute étude sur le sujet. Elle prend ainsi en compte les trois phases de la " vie " d'une voiture : sa conception, son utilisation et son élimination. Le tout est reporté à un indice comptant le coût en dollars de chaque véhicule par mile parcouru.

Et c'est là que les surprises arrivent. La Prius est ainsi créditée d'un indice de 3,24 tandis que le Hummer H3 obtient 2,07 ! La grande Classe E de Mercedes est très proche de la Prius avec 3,31. Parmi les voitures les mieux classées et disponibles sur le marché européen, on compte la Toyota Yaris avec 0,93, la Saab 9-5 (1,54), la BMW Série 3 (1,58) ou encore la Mercedes Classe C (1,69). Parmi les plus mauvais élèves, on retrouve presque sans surprise les Bentley, Rolls-Royce et Maybach, mais aussi la Porsche Cayman avec un indice de 5,383.

Cette étude, menée par un cabinet indépendant et selon des critères indiscutables, remet donc en cause bien des idées reçues sur la dépense énergétique réelle de chaque véhicule, de sa conception à sa disparition. Propriétaires de Hummer, réjouissez-vous !

Guantanamo Plage

Tiens donc:

Courrier International
PLUTÔT GUANTANAMO QUE L'ALGÉRIE
3/7/2007

Ahmed Bel Bacha, 38 ans, passe vingt-deux heures par jour dans une cellule de Guantanamo Bay qui, selon son avocat, est "un tombeau […] d'acier sans fenêtre". Pourtant, il préfère y demeurer plutôt que d'être renvoyé dans son pays, l'Algérie. Ahmed Bel Bacha est détenu depuis cinq ans dans la prison militaire américaine de Guantanamo Bay, à Cuba, mais, avec l'aide de maître Zachary Katznelson, de l'association de défense des droits de l'homme Reprieve, il bataille devant les tribunaux des Etats-Unis pour ne pas en sortir, ni être remis aux autorités algériennes.

"Ahmed Bel Bacha a si peur d'être transféré vers l'Algérie et d'y être traité en terroriste qu'il préfère rester à Guantanamo Bay, aussi incroyable et surréaliste que cela puisse paraître," assure Zachary Katznelson dans un entretien qu'il a accordé à El País.

Jihad: The Musical

Israël et les médias québécois

Merci grandement à David Ouellette pour m'avoir fait parvenir cet article:

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LES MÉDIAS ET L'ANTISIONISME
Jacques Brassard
31/07/2007

L'anniversaire de ce qu'on a appelé la Guerre du Liban a donné lieu dans les médias québécois à des émissions et des entrevues ayant apparemment comme objectif de nous rappeler les événements qui se sont déroulés, l'an dernier, au Proche-Orient. Mais comme ce fut le cas pour la couverture médiatique de cette guerre, les entrevues et les reportages soulignant l'anniversaire étaient biaisés, complaisants à l'égard du Hezbollah et diabolisaient Israël avec plus ou moins de subtilité. Il y a manifestement à Radio-Canada et dans la plupart des médias québécois un antisionisme larvé qui imprègne les reportages et influe sur le choix des invités prétendument experts. Comme presque tous les partis politiques au Québec et au Canada, nos médias sont généralement propalestiniens et prolibanais. Et ils ont très peu de sympathie et pas d'empathie du tout envers Israël qui, pourtant, lutte depuis 60 ans pour sa survie, entouré d'ennemis haineux qui ne cherchent qu'à l'anéantir.

Ainsi donc, encore une fois, nous avons eu droit aux images de civils libanais, victimes des bombardements israéliens, errant au milieu des décombres de leurs quartiers. Et, bien évidemment, accompagnés d'enfants apeurés et dépenaillés. On sait, aujourd'hui, que la plupart de ces images étaient gérées et contrôlées par le Hezbollah. Et très souvent même mise en scène comme au cinéma. Les médias occidentaux se soumettaient volontiers à l'encadrement strict de l'organisation terroriste. Si bien que, l'impression qui se dégageait des topos et reportages, au moment de la guerre, faisait en sorte qu'Israël était ciblé comme l'agresseur inhumain et que les victimes civils n'étaient que libanaises. Ah! Le pouvoir de la télé!

Agression

Pourtant, c'est le Hezbollah qui a commis l'agression contre Israël par une incursion sur son territoire, tuant six soldats et en prenant deux en otage, cette attaque étant précédée d'une série de lancements de missiles sur le nord de l'État hébreu. Ces actes de guerre ont presque toujours été délibérément occultés. Oubliées aussi les victimes israéliennes: 159 tuées et 4260 blessées; oubliées les 500,000 personnes déplacées, oubliées le million de personnes obligées de vivre dans des abris.

Ces mouvements de population n'étaient pas touristiques. Ils résultaient d'une pluie de katiouchas ( 3000 missiles) lancés par le Hezbollah sur les villes israéliennes. Avez-vous vu beaucoup de reportages sur ce qu'ont dû subir les communautés du nord d'Israël? Moi pas! Ce n'était pourtant pas anodin. Imaginez-vous une ville de la taille d'Alma où même de celle de Québec sur qui, quotidiennement, pendant des semaines, tombent des roquettes meurtrières. À l'aveuglette! Pourquoi ce traitement asymétrique par les médias? Pourquoi une victime libanaise ou palestinienne mérite-t-elle plus de compassion et de sympathie que la victime israélienne? Pourquoi la souffrance de l'un est-elle de qualité supérieure à celle de l'autre? Je n'y vois qu'une explication: l'antisionisme, c'est-à-dire une hostilité constante envers l'État d'Israël qui prévaut au sein des médias. La légitimité d'Israël étant systématiquement mise en doute, il en découle que les victimes juives ont droit à moins d'attention et moins d'affliction.

Désinformation

Mais le pire que j'ai pu entendre, c'est une entrevue d'une cinéaste-journaliste libanaise menée (façon de parler!) par Simon Durivage. Tous les lieux communs et les mensonges de la propagande Hezbollah y ont passé: Israël agresseur, civils massacrés par l'armée israélienne, réactions disproportionnées de l'État hébreu. Aucune allusion cependant au fait que les lanceurs de missiles du Hezbollah se servaient de civils -dont plusieurs étaient consentants - comme bouclier humain et aucune mention de l'arsenal impressionnant fourni aux terroristes chiites libanais par l'Iran et la Syrie.

Mais le comble dans la désinformation fut atteint quand la journaliste libanaise s'est indignée qu'on puisse accuser le Hezbollah d'être une organisation terroriste. Elle nous l'a plutôt présentée comme une oeuvre caritative, dont la mission est de faire la charité. Une sorte de Société- Saint-Vincent-de-Paul musulmane, quoi! C'était vraiment affligeant de voir un pro comme Simon Durivage avaler complaisamment d'aussi grossières menteries.

Il n'y a pas à dire, quand il s'agit d'Israël, c'est stupéfiant comme la vérité est tordue et maltraitée.

20070724

Gérant d'estrade

Quelques mots de sagesse sur la mission canadienne en Afghanistan:

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MISSION TERMINÉE!
André Pratte
24/07/2007

Il y a, dans l'effondrement du soutien populaire à la mission afghane, matière à une profonde réflexion. Si les Canadiens refusent que leurs soldats combattent aux côtés des Américains, à quelle opération militaire accepteront-ils de participer dans l'avenir? Rares, en effet, sont les interventions internationales où les Américains ne jouent pas un rôle de premier plan.

Si la caution de l'ONU ne nous suffit pas, de qui exigerons-nous la bénédiction pour être rassurés sur le bien-fondé d'une intervention armée?

Si nous rejetons toute mission militaire où la victoire n'est pas à la fois instantanée et sans victimes, quel rôle voyons-nous pour nos soldats? Et pour le Canada dans le monde?

En plus d'être pacifistes, attitude noble bien entendu, les citoyens canadiens semblent être devenus extraordinairement naïfs. Selon un sondage récent, six Canadiens sur 10 souhaitent que l'OTAN entame des négociations avec les talibans pour mettre un terme aux affrontements. Négocier avec les talibans! M. Harper pourrait aussi inviter ben Laden à prendre le thé au 24 Sussex...

Les militaires canadiens sont en quelque sorte victimes d'un mythe qu'ils ont eux-mêmes contribué à édifier, celui du rôle pacificateur du Canada dans le monde. Pendant des années, on nous a vanté la participation de nos soldats aux missions de maintien de la paix de l'ONU, à l'exclusion de toutes autres opérations. Depuis, le monde a changé et avec lui les missions dites de paix. Mais la plupart des Canadiens en sont restés à une vision réductrice de la philosophie de Pearson.

Il a fallu des décennies à la communauté internationale pour accepter que la souveraineté des États ne puisse servir d'abri aux massacres de populations, qu'il existait une telle chose que la «responsabilité de protéger». Cette avancée s'est produite, notamment, grâce aux efforts du gouvernement du Canada (sous Jean Chrétien et Lloyd Axworthy). Si les Canadiens s'en tiennent à leur vision fleur bleue de la sécurité mondiale, ils choisiront de rester les bras croisés devant les génocides, les guerres civiles et les complots terroristes, tout en multipliant les voeux pieux, une tradition bien canadienne.

Telle sera donc la nouvelle mission internationale du Canada: gérant d'estrade.

Pourquoi les islamistes nous méprisent

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20070713

34 jours

Il y a un an jour pour jour débutait le nettoyage inachevé du Sud-Liban par Tsahal... Morale de l'hisoire:

20070712

Les animaux, ces "gens" opprimés...

En marge de la très ridicule scéance de déchirage de chemises entourant cette histoire, voici une incursion très instructive dans le merveilleux monde de l'animalisme militant, doctrine nihiliste mettant sur un pied d'égalité l'Homme et la bête:

20070710

The Enemy Within

Nombre de journalistes québécois alertes face à la menace islamiste: 1

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LES ENNEMIS INTÉRIEURS
Richard Martineau
10/07/2007


J'ai une petite question pour vous: accepteriez-vous d'héberger quelqu'un qui rêve de foutre le feu à votre maison et de tuer votre famille ?

Probablement pas. J'imagine que vous passeriez votre tour...

Alors voulez-vous me dire pourquoi nous continuons de protéger les droits d'une bande de tarés qui rêvent de détruire notre société?

Pourquoi nous abritons ces gens, pourquoi nous les accueillons à bras ouverts?

Prenez ce qui se passe en Angleterre, par exemple. Selon un récent sondage, 37% des musulmans britanniques âgés de 17 à 24 ans aimeraient vivre sous le terrible régime de la charia plutôt que sous la loi britannique. Imaginez...

Ces gens-là rêvent de détruire la démocratie, ils le répètent régulièrement dans leurs mosquées, mais on ne peut rien faire contre eux, car cette bande d'illuminés sont protégés par le système de lois qu'ils rêvent justement de foutre par terre!!!

Ils profitent de la liberté d'expression pour dire qu'il faut détruire la liberté d'expression.

Ils profitent de la liberté de religion pour dire que ceux qui croient à un autre dieu que le leur méritent la mort.

Bref, ils profitent de la tolérance de leurs concitoyens pour vomir leur intolérance. Est-ce assez tordu, comme situation?

Et on est là, à protéger ces malades mentaux, à dire qu'ils ont le droit de s'exprimer et le droit d'être différents...

Savez-vous ce que ces fous feraient de notre sacro-sainte liberté d'expression et de notre sacro-saint droit à la différence si jamais ils prenaient le pouvoir?

Ils se torcheraient avec!

Un repartage terrifiant

Dimanche soir dernier, sur le réseau CNN, la journaliste Christiane Amanpour présentait un reportage terrifiant sur les extrémistes islamistes qui habitent en Angleterre.

Là-bas, les fous d'Allah ne se cachent même pas pour crier leur haine de l'Occident. Ils le disent face à la caméra... «Tous ceux qui insultent l'Islam méritent de mourir!»

«À bas le système de droits! Tous les gens devraient vivre sous la charia!»

«Nous sommes en guerre, je suis un soldat et mes frères d'Al-Qaïda qui ont commis des attentats-suicides sont des martyrs!» On fait quoi avec ces gens-là?

On continue d'utiliser les lois qu'ils exècrent et qu'ils méprisent pour les protéger, ou on les fout dehors à coups de pieds dans le cul?

Comme le disait Abraham Lincoln: «La Constitution n'est pas un pacte de suicide.»

En d'autres mots: c'est bien beau, protéger la liberté d'expression et la liberté de culte, mais il ne faut pas que les droits constitutionnels servent à protéger les gens qui veulent renverser le système et détruire la Charte des droits !

Il ne faut pas donner à nos ennemis la scie qui leur permettra de scier la branche sur laquelle nous sommes assis!

Méchant dilemme

«La portée de la Charte des droits devrait-elle être limitée? Les démocraties sont-elles obligées de protéger les droits des gens qui souhaitent sa mort?» Avouez-le, c'est une méchante question...

Une question extrêmement difficile, que nous devrons tous nous poser un jour. Bientôt. Demain.

Vrak.TV Gaza

Voici ce qui a remplacé Farfour à la télévision palestinienne, depuis son passage à tabac aux mains d'un "agent" du Mossad:

20070709

Le "réchauffement climatique" à l'oeuvre...


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VAGUE DE FROID MORTELLE EN ARGENTINE ET AU CHILI
09/07/2007


Une vague de froid mortelle sévit en Amérique du Sud, touchant particulièrement l'Argentine dont la capitale Buenos Aires s'est retrouvée pour la première fois depuis 1918 sous la neige qui paralysait les routes et les aéroports de Bolivie.

En Argentine, le corps d'un homme d'une soixantaine d'années a été découvert sans vie devant l'entrée d'un immeuble de Rosario (300 km au nord de Buenos Aires) et celui d'un autre sans-abri ayant succombé au froid a été retrouvé lundi matin dans une rue de la capitale, selon la police.

Les habitants de Buenos Aires ont eu la surprise lundi de voir la neige tomber sur la capitale et ses environs, ce qui n'était plus arrivé depuis le mois de juin 1918.

Une tempête de neige, d'une violence inconnue depuis 30 ans, a frappé Mendoza, ville située au pied de la Cordillère des Andes à 1.099 km à l'ouest de Buenos Aires, selon le Service de météorologie nationale (SMN).

Les abondantes chutes de neige et la force du vent soufflant à 140 km/h ont provoqué lundi la fermeture du tunnel du Christ Rédempteur, qui relie l'Argentine au Chili où étaient bloqués quelque 3.000 camions, selon l'agence nationale de sécurité routière.

La neige a recouvert également la région du nord-est, la ville de La Rioja en particulier, où on n'avait pas connu un tel phénomène depuis septembre 1976.

Les principales routes qui relient La Paz aux autres régions du pays ont été coupées à cause de la neige qui par certains endroits a atteint 15 cm d'épaisseur, et où les températures sont descendues jusqu'à 7 degrés en-dessous de zéro, selon le Service National de météréologie et d'hydrologie (Senamhi).

Au Chili, les températures ont chuté jusqu'à -18 degrés Celsius au centre du pays à la fin de la semaine. Cette vague de froid, qui a fait un mort dans la région de la Araucania (sud), devrait se poursuivre au cours des trois prochains jours, selon les services météorologiques.

L'Uruguay est également affecté par cette masse d'air polaire qui progresse à l'intérieur du territoire et devrait entraîner des températures minimales proches de zéro degré, a averti la direction nationale de météorologie lundi.

Totalitarisme nouveau genre


"Kyoto, like global warming, is more political than scientific. Neither stands up to scientific scrutiny; both appeal to those who favour more state control and economic restrictions, and who favour redistribution of wealth and resources at the expense of the U.S. "

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THE MYTH OF KYOTO
Peter Worthington
09/01/2005


THROUGHOUT THE Cold War, until the final collapse of the Soviet Empire, there were always people in the West -- usually well-educated -- who believed in the good intentions of communism.

Universities were an incubator for Marxism and a benign view of Soviet altruism. When Sovietism became tainted after "aberrations" like crushing the Hungarian rebellion (1956) and the invasion of Czechoslovakia (1968), admiration was shifted to China and the humanitarianism of Mao Tse-tung. Until he was also discredited.

Such people tended to blame the West (i.e. the U.S.) for the Cold War, and figured if we disarmed, the Kremlin would also disarm, making the world safer.

When the Soviet Union imploded, I and others wrote that the types who once saw humanity in Marxism would now switch to the environment and see salvation for mankind in opposing those they felt were desecrating nature.

Out of this "instinct" emerged the Kyoto Accord -- the campaign to fight global warming which supposedly threatens the world, but is a myth.

One who combats the Kyoto/global warming myth is novelist Michael Crichton, whose new book, State of Fear, is a thriller laced with indisputable facts. Another is America and Europe by Canadian Craig Read. Both books should make those who espouse Kyoto feel foolish.

Kyoto, like global warming, is more political than scientific. Neither stands up to scientific scrutiny; both appeal to those who favour more state control and economic restrictions, and who favour redistribution of wealth and resources at the expense of the U.S.

New ice age

Warnings of global warming by the UN and select scientists are reminiscent of UN warnings around 1970 that a new ice age was approaching -- which it may well be, in a thousand years or so.

Like Crichton, Read notes that climate change is one of the least-understood sciences, involving the sun, atmosphere, oceans, land surface, ice sheets, the biosphere, cloud coverage, etc. -- all relationships impossible to gauge or predict in modelling programs by the Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) which advises the UN.

The more one examines global warming, the less likely it seems that carbon dioxide (CO2) emissions have anything but a negligible effect. The Kyoto agreement calls for developed nations to reduce CO2 emissions to 1990 levels, but okays poor countries continuing with fossil fuel emissions until they catch up to developed country emissions. Poor nations can even sell their "credits" to rich countries that can continue violating standards.

Does that make sense? Of course not. More, Kyoto seems an intricate scheme to redistribute wealth -- to hold back rich countries so poorer ones can catch up.

The U.S. has rejected Kyoto. That means it's dead.

No evidence

In fact, there's no evidence that CO2 is damaging to nature. Also, there is solid scientific evidence that CO2 lags average temperature rises by several centuries. CO2 levels were higher at the end of the last ice age (114,000 years ago) than during the much warmer period 43 million years earlier. CO2 levels are higher today than the relatively hot period 17 million years ago.

Scientifically, there seems little relation between CO2 levels and warmth. Cold summers and hot winters (and vice-versa) are far more likely to be cyclical -- nothing to do with SUVs or air conditioners.

From 1910-1945, temperatures rose slightly, then cooled between 1945 and 1975 -- when, inexplicably, CO2 emissions rose. Temperatures rose again 1975-2000, with the CO2 rise negligible.

I'm no scientist, but I recognize political agendas and wealth-redistribution schemes. And Kyoto and IPCC are recognizably political rather than scientific. SUVs and world trade are irrelevant to changes in the weather or climate.

What exactly is Kyoto? It seems aimed at reducing the energy advantage enjoyed by the U.S. It also advances the lib-left's influence on environmental control and media support. It enhances more government control over the economy, and limits independence and entrepreneurial projects.

These goals are reminiscent of discredited Marxism.

As in the bad old days of the Cold War, when the average working guy, more than the enlightened academic, knew instinctively that Marxism was up to no good, so working people today ignore the warnings of impending doom if Kyoto doesn't succeed.

First, cyclical weather changes are normal and inevitable. Second, a little more global warming this winter would be welcome.

Priceless

"SHIT HAPPENS" EDITION

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Speak White!

On en apprend tous les jours... Tony Blair parle français. Et mieux que la plupart des politiciens canadiens. Anglophones comme francophones...

20070708

Jihadists Against Climate Change

Un nouveau concept: l'islamoécologisme. Vous ne verrez plus le "réchauffement climatique" de la même façon..:

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PRAYER PLEA OF 'BOMBER'
07/07/2007

TERROR suspect Kafeel Ahmed asked his family to pray for him hours before he crashed a burning Jeep into Glasgow Airport.

Police believe his phone calls to them in India were coded messages referring to the failed Central London car bombs and to the Scottish attack.

Police in India were yesterday questioning his father Maqboo, mother Zakia, both doctors, and student sister Sadia about the phone calls. In the first message on May 5, according to the Times of India newspaper, Ahmed said: "I am involved in a large-scale confidential project. It is about global warming. I cannot reveal the details.

"The project has to be started in the United Kingdom. Various people from various countries are involved in this. There is an Indian with me and he is helping me out. He has given his car to me for travelling."


20070706

Atatürk et l'Islam

"Depuis plus de 500 ans, les règles et les théories d'un vieux sheikh arabe, et les interprétations abusives de générations de prêtres crasseux et ignares ont fixé, en Turquie, tous les détails de la loi civile et criminelle. Elles ont réglé la forme de la constitution, les moindres faits et gestes de la vie de chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil, la coupe de ses vêtements, ce qu'il apprend à l'école, ses coutumes, ses habitudes et jusqu'à ses pensées les plus intimes. L'islam, cette théologie absurde d'un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies."

- Mustafa Kemal Atatürk [1881-1938], fondateur de la République turque



Source: Athéisme: L'homme debout

L'idiote du jour



Citation du jour [06.07.2007]

« Nous nous demandons toujours pourquoi on nous déteste tant. En réalité, après toutes ces horreurs commises au nom de l’islam, des musulmans et des Arabes en Grande-Bretagne et ailleurs, il faudrait se demander plutôt pourquoi on nous déteste si peu, alors qu’il y a encore parmi nous des gens qui justifient le terrorisme en le qualifiant de guerre sainte bénie par Dieu. »

- Saleh Al-Qallab [publié dans un quotidien jordanien]


(H/T: Martineau)

Guess who's back ?!?

ISLAMIC RAGE BOY ALERT!

Devinez qui était très, très, très fâché suite à l'anoblissement de Salman Rushdie..?

Thats right! He's been spotted again!


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(H/T: eXc)

=> Voir également ici, ici, ici et ici.

Pour en finir avec la repentance

CULPABILISATION MORALE WATCH

Un beau moment de télévision: Christiane Taubira, égérie de la gogauche anti-occidentale française ayant donné son nom à une loi qualifiant de "crimes contre l'humanité" la traite européenne des Noirs, se fait scier en deux par Éric Zemmour du Figaro:

66 morts...

"It's often said that Canada came of age at Vimy, in northern France, in the Easter of 1917, when a nation of seven million lost over three-and-a-half thousand in a few days. Ninety years later, a nation of 30 million cannot absorb four dozen dead in half a decade without recoiling from the very notion of soldiering, which is--as our forebears understood at Vimy and the Somme--central to the idea of nationhood."

- Mark Steyn [Western Standard/Mars 2007]

Dhimmitude 101

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Quand le multiculturalisme politiquement correct se substitue au cerveau... Pour bien saisir toute la nature du cancer à enrayer, l'Europe aura besoin de vivre, sur son propre territoire, une attaque terroriste d'une telle ampleur qu'elle fera passer le 11 septembre pour un détail de l'histoire:



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TERROR-SPOOKED EU: "DON'T SAY MUSLIMS"
04/07/2007

Gordon Brown's ban on the word "Muslim" in relation to terrorism can be blamed on the EU.

The prime minister has told Cabinet members not to mention "Muslim" and "terrorism" in the same breath.

It comes after the European Commission issued a guide for government spokesmen to avoid offence by ruling out the words such as "jihad", "Islamic" or "fundamentalist" in statements about terrorist attacks.


It has been working with governments to make sure "non-offensive" phrases are used when announcing anti-terrorist operations or dealing with terrorist attacks.

It is not the first time the EU has tackled the issue of language - last year its guidelines suggested that the phrase "terrorists who abusively invoke Islam" should be used rather than "Islamic terrorism".


Attaques terroristes: feux d'artifices multiculturels perpétrés intentionnellement par valeureux défendeurs de la Foi, entraînant malencontreusement la mort subite de malheureux infidèles n'adhérant pas à la religion pacifique, amoureuse et tolérante provenant des contrées exotiques d'Arabie.

On leur en souhaite pratiquement...

20070705

Vomitif...

L'équipe éditoriale du secteur de l'information de Radio-Canada, dans son infatigable croisade anti-Harper, anti-armée et pro-Islam, a décidé d'exploiter, dans l'unique but de faire avancer son agenda politique, et de façon particulièrement puante, la mort des soldats canadiens tombés en Afghanistan, en publiant en bas de page de chacune de ses dépêches touchant de près ou de loin à l'armée, la photo de chacun des 66 militaires tués jusqu'à présent.



Quelques exemples de cette récupération politique crasseuse ici, ici et ici.

Geneviève Rossier
Directrice, Information,
Société Radio-Canada
C.P. 6000, succ. centre-ville
Montréal (Québec) H3C 3A8
(514) 597-6000
1-866-306-4636

La fiction "palestinienne"

À LIRE ABSOLUMENT

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GAZA: LA FICTION ENVAHIT LA RÉALITÉ
Laurent MURAWIEC
03/07/2007


C’est la conjonction entre l’agit-prop arabo-musulman et son pendant soviétique qui créa : premièrement, le mouvement terroriste palestinien ; deuxièmement, le mouvement politique palestinien ; troisièmement, la fiction « palestinienne » et, couronnement de cette méga mystification : le « peuple » palestinien. Ils intitulèrent « peuple palestinien » les populations qui vivaient aux alentours et au sein de l’Etat d’Israël. C’est à un travail continu d’ingénierie sociale et culturelle que l’on doit la construction de l’inexistant « peuple » palestinien. C’est cette industrie qui fit d’immigrants syriens, libanais et bosniaques, du début du XXème siècle, de même que d’Arabes du vilayet turque, qui régissait la région avant 1918, ceux que l’on nommera bien plus tard « les Palestiniens ». Les « Palestiniens » sont, il est essentiel de le comprendre, un objet politique suscité de toutes pièces.

Entendons-nous bien : ce n’est pas parce qu’un peuple n’a jamais existé en tant que tel qu’il ne peut surgir comme objet politique. La question n’est pas là. Les Etats-Unis se sont auto créés entre 1763 et 1787 ; la Slovaquie s’est créée dans les années 1990. Israël s’est auto-fondée, mais au terme d’un effort provenu des tréfonds du peuple juif, et non comme un zombie du panarabisme, un ectoplasme soviétique, à l’image du « peuple » palestinien.

Entendons-nous également : un certain nombre d’Arabes croient effectivement être « palestiniens ». Mais leur croyance subjective n’engage pas forcément la réalité. Qu’ont fait les Juifs arrivés en Palestine – ce nom, Palestine, définissant la Palestine juive de 1900 ou de 1920 ! - ? Ils ont bâti des implantations, conçu des institutions, des formes étatiques, des universités et les bases de la vie en société : ils ont construit. Qu’ont fait les Palestiniens ? Ils ont agi comme une machine de guerre contre ce qui était érigé ; sans jamais rien tenter, sans manifester l’intention concrète de développer quoi que ce soit. Ils ont fonctionné tels des machines à détruire, depuis les attentats quotidiens commis contre l’agriculture, l’irrigation et les installations israéliennes en 1955-56. C’est exactement la même dialectique qui s’est poursuivie lors de la dévastation emblématique, par les Palestiniens, des serres chaudes laissées par Israël derrière elle, à Gaza, en 2005.

Arafat d’abord, le Hamas ensuite : c’est l’âme de la destruction qui règne. Alors qu’un peuple qui veut se lever et acquérir sa juste place au sein des nations désire, avant tout, se construire, c’est au contraire le nihilisme qui a inspiré, dès le départ, le pseudo peuple « palestinien ». Encore je ne parle pas des perdants, ces nombreux « Palestiniens » qui auraient préféré agir autrement, mais qui ont toujours été assujettis à leur leadership, la courroie de transmission des maîtres internationaux de l’ingénierie politique.

C’est pour cela que jamais la paix n’a été possible : dès le départ, et en permanence, la fonction impartie aux ustensiles « palestiniens » a toujours été celle d’instruments violents des intérêts soviétiques, arabes et islamiques dans la région pour des motifs géopolitiques et stratégiques. Or c’est dans la réalité que les croyances et les assertions se vérifient : si ce que je qualifie d’assemblage artificiel avait eu le moindre vouloir-vivre ensemble, la moindre ambition de nation-building, de construction nationale, il l’aurait, de toute évidence, mis en pratique. Qu’après plus d’un demi-siècle d’ « existence » proclamée, il n’en ait pas exhibé la capacité, mais ait toujours fait le mauvais choix de la destruction et de l’autodestruction, voilà les preuves accablantes de mon analyse. Ce sont les derniers clous dans leur cercueil, que les « Palestiniens » s’évertuent à refermer sur la terre qu’ils ont, à mauvais escient, réclamée comme leur. Et les plus récentes occurrences, les triomphes électoraux et militaires du Hamas, après le choix de l’Iran comme nouveau « patron », sont encore venus étayer la réalité dont je parle.

Notons que dans la grande tromperie « palestinienne », on s’est tôt évertué à tout confondre : « notre terre », disaient les « Palestiniens », « leurs terres », psalmodiaient les autres. Mais s’agissait-il de la terre que possède un individu, un clan ou une tribu, c’est-à-dire, se trouvait-on sous un régime de propriété ? Ou s’agissait-il du régime politique, c’est-à-dire de la souveraineté politique ?

Yasser Arafat fut construit de la même manière par la méga-machine de propagande centrée à Moscou. Le voyou de bas étage devint – étonnante métamorphose – le « héros » controuvé du « peuple » inventé, avec l’aide de « La Voix des Arabes » et des autres media moyen-orientaux, dans lesquels les patrons politiques – les services secrets locaux et surtout les politiques panarabes et panislamistes – possédaient un intérêt stratégique.

C’est ici qu’interviennent la convergence et la complicité de ceux qui trouvaient l’intérêt commun qui permit l’invasion de la réalité moyen-orientale par la fiction « palestinienne ». Quand un instrument nouveau fait son apparition dans la politique mondiale, les divers acteurs s’intéressent aussitôt aux usages qu’il est possible d’en faire. Quand l’instrument est strictement dénué de fondements dans la réalité et s’avère incapable d’y plonger des racines, il est incapable de générer une transition de l’invention à la réalité la plus minime.

Il y aurait peut-être eu un moment historique où aurait pu naître un peuple palestinien. Ce qui est sûr, c’est que les éléments constitutifs de ce peuple putatif en auront constamment décidé autrement, dans toute la mesure où l’artifice qui avait, dès l’abord, présidé à sa pseudo-création l’emportait sur le principe de réalité.

L’appel du néant et la volonté de destruction qui régnaient, dès le départ, sur le mouvement palestinien, ce mouvement consacré à la terreur et à la ruine, au massacre et au sang, ont si intimement formé et moulé le pseudo peuple qu’ils prétendaient créer ou représenter, qu’il n’en est plus resté quoi que ce soit d’autre : telle est la leçon de la prise du pouvoir et de contrôle de Gaza par le Hamas.

Alea jacta est ! disaient les Romains, le sort en est jeté.



=> Article intégral disponible ici.

Les "vraies valeurs"

Encore lui:

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Le mépris
Richard MARTINEAU
05/07/2007


Dans les années 1940, les jeunes intellectuels comme Ernest Hemingway (Pour qui sonne le glas), George Orwell (1984) et André Malraux (L'Espoir) n'avaient qu'une envie: quitter leur lit douillet et prendre les armes pour aller combattre le fascisme.

C'était, disaient-ils, le devoir de tout amant de la démocratie, de tout homme de gauche. Soixante ans plus tard, c'est le contraire.

Les islamo-fascistes (car c'est ce qu'ils sont, des fascistes qui ont troqué Mein Kampf pour le Coran) menacent une partie du monde, mais la plupart des jeunes ne rêvent que d'une chose: déposer les armes, traiter les soldats occidentaux d'assassins.

Et descendre dans la rue pour manifester contre... l'augmentation des droits de scolarité. Cela dit, ce n'est pas surprenant.

Comme le disait Denys Arcand dans son documentaire sur la campagne référendaire de 1980, on vit à une époque où les deux seules valeurs qui comptent sont le confort et l'indifférence...

Malraux et ses frères d'armes se retourneraient dans leur tombe s'ils pouvaient voir comment nous agissons...


=> Lire également Joseph Facal sur le même sujet.

20070704

The Taliban Show

Femme afghane battue en public par un taliban. Son crime: être allée au marché sans accompagnateur masculin.



Exécution publique d'une femme afghane par les talibans. Son crime: avoir tué son mari alors que celui-ci tentait de la tuer.


« Les talibans sont l'ennemi des États-Unis, ils ne sont pas l'ennemi du peuple afghan. »

- Anabelle Berkani, Étudiante au baccalauréat en Science politique à l'UQAM

Vastel pète les plombs

Michel Vastel, loque journalistique dégénérée, est bon pour l'auspice:

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NAVRANT, DÉSOLANT, DÉCEVANT...
Michel Vastel
02/07/2007


Je crois qu'un certain nombre de correspondants de ce blogue sont des fous. J'ai deux choix. Fermer ce blogue, du moins arrêter de prêter nom nom à L'actualité pour justifier l'ouverture d'une tribune: d'autres ne seront que trop heureux de prendre ma place. Ou encore, nous interdisons de séjour certains personnages du genre Michael Laughrea. Plusieurs le demandent d'ailleurs. Mais si on commence à censurer certains correspondants, nous le ferons sur la base de quels critères? Et comment les applique-t-on? Et à qui?

Quand je dis que cette expérience est décevante, c'est à cela que je pense. Plusieurs d'entre vous - la minorité heureusement! - ne méritez cette tribune. Vous ne méritez pas le magazine L'actualité. Vous ne me méritez pas!


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"Je crois qu'un certain nombre de correspondants de ce blogue sont des fous."

=> Venant de quelqu'un qui blâme encore les juifs pour avoir tuer le Christ*...

"Ou encore, nous interdisons de séjour certains personnages du genre Michael Laughrea."

=> Michael Laughrea, intervenant régulier sur le blogue de Vastel, est professeur à l'Université McGill et chercheur à l'Hôpital Général Juif de Montréal. Chaque fois que Vastel se met à vomir sur Israël, Laughrea le roule dans sa propre merde.

"Vous ne me méritez pas!"

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Vieux déchet gaulliste...

* => Voir ici.

Independence Day

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"To celebrate America’s Independence Day, I celebrated America’s independence – not just from George III but from the rest of what passes for the civilised world. You only have to listen to a couple of minutes of any BBC current affairs show or glance at the front pages of any Continental newspaper (or even, on particularly bad days, read selected Telegraph columnists) to realise that America is the western world’s odd man out, and has been increasingly since September 11th."

"Personally, I couldn’t be happier about it. I’m delighted the United States is “out of step” with, say, Belgium. Not because I’m Belgophobic. If the Belgians want to support the International Criminal Court, keep Saddam in office until his nuke arsenal is ready to fly, and continue subsidising Yasser Arafat’s pay-offs to the relicts of suicide bombers, that’s fine, go ahead, you’re an independent nation."

"[...] America is also an historical anomaly: the first non-imperial superpower. It has no colonies and no desire for any. For almost 60 years, it’s paid for the defence of the west virtually single-handed while creating and supporting structures – the UN, Nato, G8 – that exist only to allow its “allies” to pretend they’re on an equal footing. For “allies”, read dependencies: it’s because the US provides generous charity defence guarantees that the European governments have been free to fritter away their revenues on socialised health care and lavish welfare and all the other entitlements the Euro-progressives berate America for not providing for its own citizens. The non-arrogance of Washington is unparalleled in human history: it’s American muscle that tames Bosnia but it’s the risibly pompous Paddy Ashdown who gets to swank about the joint playing EU viceroy."

"In Washington, meanwhile, cooler assessments are being made. America knows now what multilateralism boils down to: There’s no point pooling resources with people who have no resources to pool. There’s no point getting together and forming a whole that’s less than the sum of your individual part."

"If that sounds “arrogant” to Europe, well, do something about it. You don’t want Bush to topple Saddam? Fine. Sign a mutual defence pact with Baghdad. You like Yasser that much? Send your mythical Rapid Reaction Force to guard Ramallah. That’s what real powers do. But sneering civil servants being patronising about colonials isn’t going to cut it. That argument was settled in 1776."

- Mark Steyn, "The Face of the Tiger", 2002

Islamisme: les idiots utiles

Témoignage de Hassan Butt, djihadiste repenti:

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I was a fanatic...I know their thinking, says former radical Islamist
Hassan BUTT
02/07/2007


Quand j’étais encore un membre de ce que l’on peut appeler le Réseau Jihadi britannique - une série de groupes terroristes musulmans britanniques reliés par une même idéologie - je me souviens comme nous rigolions en nous felicitant, chaque fois que les gens à la TV disaient que la politique étrangère occidentale était la cause unique des attentats islamistes comme 9/11, Madrid et le 7/7 à Londres.

En blamant le gouvernement pour nos actions, ceux qui ont poussé l’idée des “bombes de Blair” faisaient notre travail de propagande pour nous.

Plus important encore, ils ont aussi aidé à eliminer tout examen critique du moteur réel de notre violence : la théologie islamique.

La tête dans l'c...


Richard Martineau, qui semble avoir renouer avec le bon sens depuis son départ du torchon bobo-progressiste-underground Voir, récidive ce matin avec un excellent texte publié sur Franc-Parler [blogue de l'auteur]. Oui, le style "j'écris-comme-je parle" peut énerver, mais en ce qui attrait à la dénonciation de l'islamisme par les médias québécois [la quoi..? par qui..?], this is as good as it gets:


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La tête dans le sable
Richard Martineau
03/07/2007


Vous avez vu ce qui s'est passé à Londres...

Et pendant ce temps-là, il y a encore des gens qui affirment que la guerre contre le terrorisme n'a aucun fondement...

Bien tiens.

Selon ces pacifistes angéliques, on devrait "négocier" avec les Islamistes.

Négocier quoi? Ils ne veulent rien savoir de la négociation, ce qu'ils veulent, c'est détruire les valeurs occidentales, et imposer une théocratie à l'échelle mondiale.

Méchante base de négociation!!! On négocie quoi, avec des illuminés pareils? Et avec qui?

Vous pensez vraiment que "solutionner" le conflit palestinien va tout régler? Si oui, donnez-moi le numéro de téléphone de votre pusher, il vend du maudit bon stock...

Les islamistes se foutent de la Palestine et d'Israël, leur combat n'a rien à voir avec la géopolitique internationale, c'est un combat religieux.

Vous pensez que le Canada est à l'abri d'un attentat terroriste? Si oui, vous rêvez.

Cela dit, je suis sûr que si demain, une bombe explosait à la Place Ville-Marie et faisait des centaines de morts, la majorité de Québécois blâmeraient... Stephen Harper!

"C'est sa faute, il n'avait qu'à retirer les troupes canadiennes d'Afghanistan..."

De toute façon, quoi qu'il arrive, c'est la faute des Américains et de Stephen Harper...

Comme l'écrivait la "bachelière de l'UQAM" qui a publié une lettre ouverte au Devoir, la semaine dernière: "Les talibans sont l'ennemi des États-Unis, ils ne sont pas l'ennemi du peuple afghan..."

Bien tiens!!!!!

Et lâchez-moi le pétrole, bordel! Chaque fois qu'on parle de la guerre au Moyen-Orient, il y a toujours quelqu'un pour nous dire: "Les Américains font la guerre seulement pour le pétrole..."

Et Ben Laden, il ne s'intéresse pas au pétrole, lui? Il s'en fout, de l'argent du pétrole? Ça ne l'intéresse pas?

Le pétrole n'intéresse que les "méchants" Américains?

Vous pensez vraiment que les islamistes ne pigent pas également dans le "pot" de l'or noir? Qu'ils ne financent pas leurs opérations avec le fric provenant du pétrole? Qu'il n'y a que nous qui nous intéressons à l'énergie fossile?

Que les terroristes musulmans sont au-dessus de tout ça?

Eh oui, les Américains protègent leurs intérêts!!!! Et alors? C'est le propre de TOUTES les nations. TOUTES les nations protègent leurs intérêts et les intérêts de leurs citoyens!

Dieu que les gens sont naîfs, parfois...

Ils voudraient que le monde ressemble à un livre pour enfants, un épisode de Passe-Partout, "il suffit de dialoguer pour tout régler, la violence c'est pas beau, tout le monde veut le bien de tout le monde", etc.

Réveillez-vous!!! Des gens veulent VOTRE mort. Votre mort et la mort de vos proches. Pas pour vos idées. Pour ce que vous êtes, pour ce que vous représentez, parce que pour eux, vous êtes de la vermine, de la merde, vous incarnez le péché...

Ce sont des fascistes!!!! Le fait qu'ils brandissent le Coran plutôt que Mein Kempf ne les rend pas plus humains...

Le Canada: un paradis progressiste

CBC WISH LIST => En tête de liste: interdire l'avortement...



Sans oublier un sondage publié hier selon lequel 60% des Canadiens adhéreraient aux théories créationnistes:

Selon un sondage Décima-La Presse canadienne, 60 % des Canadiens croient que Dieu a joué un rôle direct ou indirect dans la création des êtres humains.

L'étude répartit les Canadiens en trois groupes.

Il y a ceux qui croient que:

- les humains sont le fruit d'une évolution guidée par Dieu et ayant duré des millions d'années (34 %);
- Dieu a créé seul les humains au cours des 10 000 dernières années (26 %);
- l'évolution s'est faite sans son intervention (29 %).


Source:

20070703

Rubrique nécrologique

Un grand moment de télévision: Farfour, le Mickey psychopathe du Hamas, est battu à mort par un agent du Mossad:

Droitiste.com


INSCRIVEZ-VOUS!

20070701

Un seul but: Détruire Israël

VOICI CE QUE LES PALESTINIENS FONT DE LEURS ENFANTS:


"Peace will come when the Arabs will love their children more than they hate us."

- Golda Meir

20070629

Sicko?

À VOIR ABSOLUMENT
"UNINSURED IN AMERICA"

Iran: Regime Change

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L’Iran, régime aux pieds d’argile
Chahdortt Djavann
28/06/2007


La crise nucléaire iranienne n’aura pas de fin heureuse. Les mollahs veulent la bombe et ne reculeront devant rien. Plusieurs années de « dialogue », de gesticulations diplomatiques, de politique de « la carotte et du bâton » et, surtout, l’inefficacité des sanctions ont prouvé la détermination du régime islamique et la faiblesse de la diplomatie face à un régime qui poursuit un but bien précis : exporter son idéologie islamique totalitaire (ce que l’Occident nomme l’« islamisme »).

La bombe atomique est le meilleur garant de ce projet. Nul n’ignore le rôle du pouvoir iranien dans l’expansion mondiale de l’islamisme, son aide économique, militaire et logistique au Hamas, au Djihad islamique, au Hezbollah, aux milices irakiennes, mais aussi à al-Qaida et à la mouvance islamiste mondiale, qu’elle soit sunnite ou chiite, qu’elle soit djihadiste ou terroriste. Ce régime a eu aussi, via ses agents d’influence, un rôle néfaste dans les banlieues européennes.

Ahmadinejad n’est qu’un agitateur, une marionnette au service des vrais dirigeants iraniens, comme le fut, en son temps, Khatami, qui jouait le rôle de la marionnette paisible et rassurante. Le guide suprême et absolu, Khamenei, le président du Conseil de discernement islamique, Rafsandjani, et le Conseil des gardiens contrôlent tout le pouvoir. Le président iranien n’a qu’un pouvoir limité et surveillé par ces instances non élues, et il est révocable.

Dans un essai que je viens de terminer, j’analyse, entre autres, la structure et la nature du régime iranien et montre pourquoi il ne se conformera pas à la culture de la dissuasion nucléaire, mais se lancera dans l’expansion du terrorisme nucléaire pour ac-croître l’influence mondiale de son idéologie. À l’heure actuelle, le pire scénario est à craindre. Du côté américain, des forces navales importantes se déploient dans le golfe Persique, avec des porte-avions à propulsion nucléaire, et du côté iranien, le Corps des gardiens de la révolution, qui dépend directement du guide suprême, renforce sa capacité à agresser des navires de guerre et à perturber la circulation du pétrole dans le détroit d’Hormuz, itinéraire maritime par lequel transitent les deux cinquièmes de l’approvisionnement quotidien en pétrole dans le monde.

Je suis de ceux qui pensent qu’il faut empêcher à tout prix ce régime de se doter de l’arme nucléaire, car déjà sans la bombe sa capacité de nuisance fait peur, non seulement au Moyen et au Proche-Orient, mais aussi en Europe avec le terrorisme. En outre, la course aux armements nucléaires des autres pays dans une région où la situation est explosive sera un sérieux danger non maîtrisable. L’Europe sera la première à en subir les conséquences directes et indirectes.

Il est temps d’en finir avec la realpolitik cynique et l’intérêt économique de quelques multinationales. Il est peut-être encore temps d’éviter le pire : la guerre. La clé de toutes les crises dans la région est l’Iran.

C’est le pays le plus important géographiquement, stratégiquement, le plus riche par ses ressources pétrolières et gazières, et le plus influent par son idéologie islamique. Le problème n’est pas seulement le fait que l’islam soit la religion d’État, le problème est que l’islam est l’État et que l’islam n’est plus une religion, mais une idéologie pensée, construite au service des dirigeants iraniens. Cette idéologie, pire que celle du communisme ou du nazisme, a des ambitions mondiales et veut implanter le drapeau de l’islam politique dans le monde, comme l’a proclamé souvent le guide et récemment repris Ahmadinejad.

On peut penser folle cette ambition ; celle du nazisme l’était tout autant. Il est pourtant possible de renverser le régime des mollahs plus rapidement qu’on ne l’imagine. Pour cela il faut le soutien absolu de l’Occident.

Le régime est plus fragile qu’on ne le croit. Le peuple iranien, à part ceux qui font partie du noyau dur du régime, lui est hostile ; cela fait des années que le peuple espère son renversement. Les Iraniens se sont mordu les doigts et, dans leur immense majorité, ils regrettent le régime du chah.

La seule personne capable de prendre le leadership, la seule personne légitime aux yeux du peuple iranien est l’héritier du chah, son fils. Et les mollahs savent que seul l’héritier des Pahlavi peut rassembler les Iraniens. C’est pourquoi le régime a inventé ses faux opposants qui, trente ans après la chute du chah, ne cessent de le condamner tout en ne faisant qu’une critique modérée des atrocités commises par le régime islamique.

Ces faux opposants dénoncent l’ingérence occidentale, alors que le droit d’ingérence, lorsqu’un peuple est pris en otage par un régime totalitaire qui menace par ailleurs la paix dans le monde, est un devoir. J’ai réfléchi longuement, car je ne suis pas royaliste par conviction. Je suis une républicaine laïque et démocrate, mais une monarchie constitutionnelle en Iran, à l’image de celle de l’Espagne, est la seule porte de sortie pour éviter une guerre aux conséquences néfastes.

Si l’Europe et les États-Unis soutiennent sans équivoque le renversement du régime islamique, il ne tiendra pas plus de quelques mois. La crise économique, l’inflation, la privation des droits les plus élémentaires ont poussé le peuple iranien à bout. Il existe quelques moyens pour ébranler le régime des mollahs et leur idéologie.

Mais l’Occident sera-il capable de s’unir, de renoncer à ses intérêts pendant quelques mois et de faire pression sur la Chine et la Russie ? Et pourtant, l’Occident, surtout l’Europe, aurait tout à gagner, y compris économiquement, à ce qu’un régime pro-occidental soit instauré en Iran. Sans les pétrodollars iraniens dépensés à foison, l’islamisme dépérirait en Irak, au Liban, en Afghanistan, en Turquie, en Afrique, ainsi que dans les pays du Maghreb, et la paix entre Israël et la Palestine deviendrait possible.

Puissent ces paroles être entendues par les dirigeants occidentaux.

L'idiote du jour

PACIFISME DÉGÉNÉRÉ 101

« Je suis allée moi aussi manifester pour la paix à Québec. Je vous ai regardés passer, vous soldats, et je me suis amusée à calculer combien vaut l’équipement militaire que vous avez exhibé fièrement dans les rue de Québec. J’ai essayé de calculer combien d’enfants afghans on peut nourrir pour le prix d’un seul de vos beaux fusils. Et j’ai eu la larme à l’oeil en pensant que j’ai payé malgré moi une partie de ce fusil maudit... »

- Anabelle Berkani, Étudiante au baccalauréat en Science politique à l’UQAM

Incroyable...

Mode pour gauchiste contemporain crétinisé


=> Voir également ici et ici.

[Sur] Rushdie anobli

« Le romancier Salman Rushdie, auteur des Versets sataniques, vient d’être fait chevalier par la reine d’Angleterre. Un ministre pakistanais a estimé qu’au vu des provocations littéraires de Rushdie et de ses blasphèmes envers l’islam, il n’y avait rien d’étonnant à ce que les musulmans s’offusquent de son anoblissement, et manifestent leur colère par des attentats-suicides. (…)
En tant que musulmane, je me sens indignée par l’absurdité de telles réactions. (…)

Dans ce contexte, il est grand temps d’en finir avec l’hypocrisie qui gangrène l’islam. Ce n’est pas Salman Rushdie qui pose problème. Ce sont les musulmans. »

- Irshad Manji

20070627

Le Culte de la Mort

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L’héritage de la haine et de la violence
Jacques Brassard
26/07/2007

Qui peut bien être responsable de la guerre civile qui ensanglante la bande de Gaza? Quelle curieuse question! Ben voyons! Vous savez fort bien que ce sont les belliqueux États-Unis et l’Immonde Israël, qui portent la responsabilité du triomphe, chez les Palestiniens, de la haine, du fanatisme, de la violence et de l’obscurantisme.

Si je me permets de faire ainsi de l’ironie, c’est parce que bien de prétendus spécialistes de la question et beaucoup d’"idiots utiles" sont fermement convaincus que le peuple palestinien représente l’archétype de l’Opprimé et la figure emblématique de la Victime; par voie de conséquence, les coupables tout désignés de la violence pathologique qui sévit dans les Territoires sont forcément les "Américains sans-coeur et les Juifs enragés".

Pourtant, depuis la naissance d’Israël, en 1948, l’impossibilité d’instaurer la paix au Proche-Orient a pour cause unique et persistante la volonté de tous les peuples arabes de la région, de tous les États voisins et de toutes les organisations islamistes du coin, de détruire Israël, de l’anéantir à tout jamais, de le "rayer de la carte", pour utiliser l’expression du despote illuminé de Téhéran.

Dans toutes les guerres qui ont suivi la création d’Israël - que ce soit celle des Six Jours, en 1967, ou du Yom Kippour, en 1973 - l’objectif poursuivi par les armées arabes coalisées (Égypte, Syrie, Jordanie) a toujours été l’anéantissement d’Israël. Lorsque, dans les années 80, le terrorisme aveugle contre les civils innocents a remplacé les opérations militaires "classiques", le but recherché, lui, n’a pas changé. Il s’agit toujours de détruire Israël.


Hamas

Illustrons ce propos par des citations de la Charte du Hamas: "Le Mouvement de la résistance islamique est un mouvement honorable [!] qui fait allégeance à Allah et à sa voie, l’islam. Il lutte pour hisser la bannière de l’islam sur chaque pouce de la Palestine. Il n’existe pas de solution à la question palestinienne, excepté le jihad. Les initiatives, les propositions et les conférences internationales sont une perte de temps et des tentatives vaines."

C’est très clair: il s’agit d’éliminer Israël. Que nous dit l’ex-Premier ministre du gouvernement du Hamas, Ismael Haniyeh, celui que les "idiots utiles" utiles à l’islamisme) jugeaient apte à mener des négociations? "Les arrogances américaine et sioniste, glapissait-il, exigent de nous que nous approuvions l’usurpation des terres palestiniennes et que nous arrêtions la guerre sainte...Tour cela n’arrivera pas. Nous ne reconnaîtrons jamais le gouvernement sioniste usurpateur et nous continuerons notre guerre sainte jusqu’à la libération de Jérusalem".

Reconnaissons-le: le Hamas a au moins le mérite de la clarté. Il faut vraiment être aveuglé par l’antiaméricanisme et l’antisémitisme pour ne pas voir que l’objectif premier de toutes les légions terroristes du Moyen Orient - Hamas, Jihad islamique, Hezbollah - ce n’est pas de créer un État palestinien coexistant avec l’État Hébreu, mais de pulvériser Israël.

Culture de la haine

Voilà pourquoi l’enfer de Gaza, dans lequel croupissent et se morfondent les Palestiniens, n’est que le fruit pourri de la culture de la haine et de la violence qui imprègne, depuis des décennies, tous les peuples de cette partie du monde. La faut n’en incombe certes pas au Président Bush qui, dès 2002, indiquait que les "États-Unis ne soutiendront pas l’établissement d’un État palestinien, jusqu’à ce que ses dirigeants s’engagent dans un combat tenace contre les terroristes et démantèlent leur infrastructure". Or, cette condition n’a jamais été remplie.

Ce n’est pas non plus Israël qui est responsable du chaos en territoire palestinien. Ce chaos est la conséquence de l’exaltation, par la société palestinienne, de la violence et de l’antisémitisme.

La haine des Juifs est enseignée dans les écoles palestiniennes comme une matière scolaire. Les mères des terroristes tueurs de civils se glorifient d’avoir enfanté des martyrs d’Allah. Devant cette frénésie de violence, il convient de rappeler qu’Israël a le droit d’exister et le devoir de se défendre.

L’État hébreu a pourtant fait de substantielles concessions dans l’espoir de faire naître la paix. Il a procédé à deux retraits majeurs de l’armée: au Liban sud, d’abord, et dans la bande de Gaza, ensuite.

Ces retraits furent considérés comme un aveu de faiblesse et, donc, comme une victoire de la Terreur. Résultat: la violence ne fit que s’amplifier sous la forme d’une pluie de missiles tombant sur les villes israéliennes.

Les choses doivent être claires: Israël a le droit et le devoir de lutter sans faillir pour exister. L’Occident tout entier (ce qui nous inclut) a le devoir d’être solidaire de ce combat. Sans dérobades ni atermoiements...

Jacques Brassard (Parti Québécois) a été ministre des Loisirs, ministre des Transports et ministre de l’Environnement, ministre délégué aux Affaires intergouvernementales canadiennes et ministre des Ressources naturelles. Il a occupé à plusieurs reprises les positionz de leader parlementaire et de whip.

© 2007 Le Quotidien. Tous droits réservés.

"Le défi de reconstruire"

Extraits d'un texte de Steven Blaney, député conservateur de Lévis-Bellechasse et membre de la commission permanente de la Chambre des communes sur la défense nationale, de retour d'un séjour en Afghanistan [Le Devoir]:

"La mission canadienne en Afghanistan consiste en quelque sorte en un véritable travail de reconstruction des infrastructures, que celles-ci soient civiles, policières et militaires. D’abord, on cherche à y instaurer un climat stable et sécuritaire, ce qui constitue déjà un grand défi, compte tenu de la menace constante que représentent les attaques suicide et les engins explosifs improvisés. Ensuite, la coalition est à former activement des kandaks, c’est-à-dire des bataillons afghans, au rythme d’un par mois, afin de former d’ici 2009 une véritable armée afghane de 70 000 hommes qui pourra assurer la sécurité de ce pays après le départ des forces internationales."

"En parallèle, le Canada a aussi entrepris la formation de la police nationale auxiliaire afghane, qui est formée par des membres désignés par les communautés afghanes et qui en assurent la sécurité. Ces derniers représentent des cibles de choix pour les terroristes, qui voient ainsi leur emprise de terreur compromise sur le plan local. Des formateurs canadiens de la GRC assistent aussi la police nationale afghane."

"À ces efforts s’ajoute tout le volet humanitaire, appelé à jouer un rôle de plus en plus important. Avec les représentants de l’ACDI, plusieurs projets sont lancés afin d’améliorer les infrastructures de base des communautés. L’équipe provinciale de reconstruction joue un rôle clé à Kandahar et participe à de nombreux projets."

"[...] Les troupes canadiennes soutiennent le peuple afghan. La population civile afghane a besoin de la protection offerte par les forces de l’OTAN, y compris les soldats canadiens. Mais surtout, l’Afghanistan a besoin d’être reconstruit ; il a besoin de nouvelles écoles pour remplacer celles qui ont été détruites par les talibans. Il faut alphabétiser l’Afghanistan, et particulièrement les jeunes filles, à qui les talibans avaient interdit l’accès aux écoles ; on ne peut pas maintenir une partie de la population dans l’ignorance. Malheureusement, les talibans s’attaquent aussi aux professeurs et aux éléments les plus progressistes de la société afghane."

"Dans ce nouveau contexte de lutte contre le terrorisme, le Canada ne peut pas toujours convenir avec ses partenaires de conserver la portion humanitaire des missions militaires et laisser la responsabilité des interventions armées, beaucoup plus risquées, à ses alliés. C’est pourtant ce que demande un parti d’opposition comme le Bloc québécois, qui voudrait confiner le Canada dans son rôle au sein des Casques bleus de l’ONU. Dans ce dossier, le Bloc québécois démontre de la naïveté et de l’inexpérience dans le domaine des relations internationales."

"Lors de mon séjour en Afghanistan, nous avons rencontré Sarah Chase, l’Américaine qui avait fait un passage remarqué à l’émission Tout le monde en parle, passionnée de ce pays et convaincue de l’importance géopolitique de rétablir la paix dans cette partie du monde. Elle vit et demeure à Kandahar, où elle exploite une fabrique de savon. Bien qu’elle conserve un esprit critique au sujet de la mission, mette les dirigeants en garde contre les dangers de la corruption et souligne l’importance d’une saine gouverne, elle estime que la présence de la coalition est essentielle pour soutenir l’émergence de ce pays. Elle déplore aussi la vision simpliste des partis de l’opposition qui réclament un retrait immédiat."

"Lorsqu’on fait partie d’une alliance comme l’OTAN, on ne peut pas toujours demander aux autres pays d’exécuter les opérations militaires en sol ennemi et garder pour soi le prestige des interventions humanitaires, le secours aux blessés, le soutien alimentaire et l’alphabétisation, même si tous ces aspects ont aussi une grande importance. Autrement dit, on ne peut pas, à chaque crise internationale, laisser le travail ingrat et difficile aux autres pays et toujours tirer le bénéfice des missions de paix. Chacun doit jouer son rôle selon ses moyens et sa bonne foi. C’est l’engagement du gouvernement canadien envers le peuple afghan et la communauté internationale depuis 2003."

"À Ottawa, les partis d’opposition proposent souvent une image faussée à propos de la présence du Canada en Afghanistan. Ces critiques profitent de la douleur des familles qui ont perdu un membre au combat pour dénigrer le bien-fondé de la mission canadienne. Ainsi, lorsque des militaires canadiens périssent sur le front, certains détracteurs vont même jusqu’à comparer notre mission actuelle à la terrible guerre du Vietnam, il y a 40 ans. C’est mal connaître l’histoire militaire et les relations internationales."

"Le Canada n’a pas participé à la guerre du Vietnam, tout comme il ne participe pas aux opérations militaires en Irak. Mais surtout, la présence militaire canadienne en Afghanistan fait suite à la demande expresse du gouvernement afghan, démocratiquement élu et légitimement reconnu par l’ONU. Le Canada combat le régime des talibans et les terroristes. Le Canada poursuit son plan d’aide internationale en sol afghan, mais cette présence essentielle ne peut se faire que sous la protection de notre armée, assistée par les militaires d’une trentaine de pays, qui garantissent la sécurité des populations civiles et de nos coopérants."

"Cet effort s’inscrit également dans un processus diplomatique qui mobilise les voisins de l’Afghanistan et dans lequel le Canada joue un rôle clé. [...] La reconstruction en Afghanistan demande de nombreux efforts ; c’est une route qui sera longue et parsemée d’embûches. Mais plusieurs Afghans et de nombreux observateurs aguerris nous le confirment : sans notre présence, ce pays retombera dans un cycle de violence et l’avenir serait compromis. [...]"